Ubisoft nous propose une aventure féérique et merveilleuse. On incarne une jeune fille au nom d’Aurora. Un malheur s’embattant sur la jeune fille, nous voilà propulsé dans – justement – ce monde enchanteur.
Ce monde enchanteur, nous le parcourons de la plus belle des manières. Arrivé à un moment du jeu (très tôt), nous recevons le don de voler ; rêve de la jeune fille. De ce fait, ce monde s’explore à tous les niveaux. De haut en bas, de gauche à droite ; pour trouver monts et merveilles. L’histoire est contée comme si nous lisions une poésie. Au premier abord, cela peut déplaire, mais à terme, cela donne une petite note de légèreté, de liberté et d’immersion dans l’univers de Lemuria. D’ailleurs, dans ce monde de Lemuria, nous ne serons pas seul bien longtemps. Nous trouvons sur notre chemin différents personnages, de villages différents avec leur capacité qui leurs sont propres. De plus, ces derniers interviennent pas mal de fois dans les phases de dialogues et chacun avec son caractère bien défini. Très plaisant.
Hors la phase d’exploration avec des phases d’énigmes, afin de pouvoir avancer, qui au final à tout de même ces limites tant cela est simple. Les phases de combats sont également très simplistes pour un RPG. Ces phases – au tour par tour – avec une sorte de barre ATB permet de placer ces différentes stratégies. Vaut-il mieux attaquer ou se défendre ? Car oui, lorsque l’ennemi nous attaque pendant la préparation de notre attaque, cela interrompt instantanément cette dernière et nous perdons un tour ; bêtement. D’ailleurs, notre petit Igniculus n’est pas là que pour faire joli, il nous sera également utile en pressant la touche L2 et en le plaçant sur l’ennemi de notre choix afin de le ralentir. Bien évidemment, tout cela est bien expliqué pendant le jeu.
Ce qu’il faut vraiment prendre en compte dans Child of Light, c’est vraiment la DA qui est vraiment magnifique couplé à une BO excellente. Ce monde envoutant est d’une réussite qu’on se dit qu’il est dommage que le jeu ne dure qu’environ une dizaine d’heures.
Néanmoins, nous pouvons être sûrs qu’Ubisoft sait faire des RPG. Espérons-le qu’ils en fassent plusieurs avec une plus grande durée de vie.