Réactions de Serge LEFORT

J’abandonne ce documentaire, sponsorisé, après le témoignage édifiant d’une certaine Monique : Avant 1968, on ne savait ce que c’était ni la sexualité, ni le plaisir ni faire l’amour [03’57].

Ce film, sponsorisé par des institutions, nous assène la propagande politiquement correcte mise en scène par un ancien militant trotskyste de l’OCI devenu macroniste.

Les expressions la jeunesse ou le peuple ou les Français sont des classiques de la propagande journalistique et politique. J’abandonne rapidement ces discours [04’47].

La première partie se focalise sur la mouvance écolo-libertaire et la seconde partie sur la mouvance homo masculine. Le film s'enlise dans les problèmes personnels en occultant les luttes sociales.

Ce film est terriblement chiant, car artificiel, bavard et prétentieux à l’image de Louis Garrel.

Quand le film bascule du noir et blanc à la couleur, il tombe dans le récit hollywoodien des Black Panthers [03’36].

Cet épisode de la série télévisée "Tous les garçons et les filles de leur âge" est très rapidement ennuyeux, car terriblement artificiel [06'15].

J’abandonne après le discours du père [11’15]. Le jeu des acteurs est inconsistant.