Réactions de Specliseur

Le problème de ce film, c’est que les probabilités de vie de sa protagoniste empêchent un parti pris narratif où le spectateur peut fixer ses émotions devenues contradictoires.Déroutant.

Mini-série contemplative, très écrite et bien filmée.Sa grande richesse étant d’établir une certaine idée d’un respect mutuel entre Portugais et Angolais.

Pour la nouvelle alchimie entre Bernard Campan et Isabelle Carré, et dans cette imperfection des rapports humains du film où jaillit pourtant quelque chose. Un très bon cru de Calbérac.

Version très/ trop latino sur la figure du pistolero. À consommer juste pour se changer les idées ,comme un défouloir qui tombe à pic.

On ne peut que regretter l’anim originale.Ici, l’interprétation et la mise en scène sont d’une médiocrité remarquable.

L’intérêt de ce film, c’est que ces hommes du stage se rendent compte qu’ils n’étaient aussi diminués qu’ils l’imaginaient.Et leur coach pas aussi solide qu’elle le pensait. Le bien-être relatif.

Un film tourné vers la vie malgré les tragédies quotidiennes d’une famille chilienne.L’idée de conter la séance de cinéma est géniale.

Coproduction ambitieuse où polar et dystopie ont du mal à cohabiter.Concordia est donc une mini-série inaboutie.