Réactions de Gaspard Rivron

Trop d'eau de rose et de pâmoisons (héritage du roman gothique) ne parviennent pas à noyer la finesse psychologique et le sens existentiel de ce pénétrant et profond roman chrétien.

Un livre anti-bourgeois, donc anti-woke. Anti-partisan, qui effarouchera et enragera ceux qui adorent se dire "de droite" ou "de gauche". Plein de culture et d'histoire, écrit par un homme libre.

Loin des consuméristes hippies et des profiteurs soixante-huitards, l'infréquentable Grogan, anonyme aux multiples vies, piège les idéologues et améliore le quotidien des laissés-pour-compte.

Reportage d'une rare qualité, fait par un journaliste courageux, non idéologue, sachant observer et écrire. Je ne vois guère qu'Anne-Laure Bonnel, aujourd'hui, qui ait pris honorablement la relève.

Très bonnes critiques de très bons livres, dommageablement entachées d'un panégyrique outrancièrement élogieux offert à l'ennuyeux nombril infiniment dense de Maxence Caron.

Profond comme Kierkegaard, simple comme l’Évangile, ardent comme l'esprit et douloureux comme la chair. Sainte Thérèse ouvre le lecteur à l’ESPÉRANCE.

Dommage qu'il y ait, à la toute fin, en guise de conclusion, un petit texte qu'on dirait journalistique, à propos du tourisme et du "dynamisme" ou de l'"attractivité" de l'île.

Documentaire magnifique et profond qui déborde de son sujet (l'île de Fårö) pour montrer, sans artifices, l'humanité, sans jugement ni honte, dans ce qu'elle a de réjouissant, d'étonnant, de décevant.