Activité sur Je m'accuse
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Je m'accuse...
1900 • livre de Léon Bloy
Résumé : Je m'accuse... après J'accuse : par le passage au réfléchi, Léon Bloy endosse volontiers le rôle du " vilain monsieur " qui ennuie de nouveau Zola, " le bon ouvrier honnête ". Dans une France sommairement divisée en deux camps, attaquer Zola, c'est prendre parti dans l'Affaire. Le titre le prouve assez... C'est Zola qui est visé, non Dreyfus. La réputation de l'écrivain cautionne l'auteur de J'accuse, devenu une figure de la IIIe République, " le Penseur, comme autrefois le vieil Hugo " ironise Bloy. En retour, la stature prise par le défenseur de Dreyfus interdit désormais tout examen de ses romans, comme l'expose benoîtement Groux à Bloy qui retranscrit avec colère : " Qu'importe, à côté d'un si grand rôle, et : lorsqu'on a un si puissant levier (la plume de l'auteur de J'accuse, bien entendu) l'imbécile roman Fécondité ". C'est cette censure que prétend lever Bloy, lecteur redoutable..
Je m'accuse...
1900 • livre de Léon Bloy
Résumé : Je m'accuse... après J'accuse : par le passage au réfléchi, Léon Bloy endosse volontiers le rôle du " vilain monsieur " qui ennuie de nouveau Zola, " le bon ouvrier honnête ". Dans une France sommairement divisée en deux camps, attaquer Zola, c'est prendre parti dans l'Affaire. Le titre le prouve assez... C'est Zola qui est visé, non Dreyfus. La réputation de l'écrivain cautionne l'auteur de J'accuse, devenu une figure de la IIIe République, " le Penseur, comme autrefois le vieil Hugo " ironise Bloy. En retour, la stature prise par le défenseur de Dreyfus interdit désormais tout examen de ses romans, comme l'expose benoîtement Groux à Bloy qui retranscrit avec colère : " Qu'importe, à côté d'un si grand rôle, et : lorsqu'on a un si puissant levier (la plume de l'auteur de J'accuse, bien entendu) l'imbécile roman Fécondité ". C'est cette censure que prétend lever Bloy, lecteur redoutable..
Je m'accuse...
1900 • livre de Léon Bloy
Résumé : Je m'accuse... après J'accuse : par le passage au réfléchi, Léon Bloy endosse volontiers le rôle du " vilain monsieur " qui ennuie de nouveau Zola, " le bon ouvrier honnête ". Dans une France sommairement divisée en deux camps, attaquer Zola, c'est prendre parti dans l'Affaire. Le titre le prouve assez... C'est Zola qui est visé, non Dreyfus. La réputation de l'écrivain cautionne l'auteur de J'accuse, devenu une figure de la IIIe République, " le Penseur, comme autrefois le vieil Hugo " ironise Bloy. En retour, la stature prise par le défenseur de Dreyfus interdit désormais tout examen de ses romans, comme l'expose benoîtement Groux à Bloy qui retranscrit avec colère : " Qu'importe, à côté d'un si grand rôle, et : lorsqu'on a un si puissant levier (la plume de l'auteur de J'accuse, bien entendu) l'imbécile roman Fécondité ". C'est cette censure que prétend lever Bloy, lecteur redoutable..
Le 21 sept. 2019
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