L'ombre portée de Greta Taro : un grand roman reste à écrire...
Je commençais ce roman de Serge Mestre le 5 avril dernier et l’abandonnais (chose rare !) après les premiers chapitres, parce que non, vraiment, l’écriture stéréotypée et sans caractère, l’absence de style, l’insipidité presque ridicule de scènes