SensCritique

Activité sur L'Aube de Fondation

Les dernières actions

Madhatter

a attribué 8/10 au livre

L'Aube de Fondation

Forward the Foundation

1993 • livre de Isaac Asimov

Résumé : L'univers uni, c'est fini. L'Empire galactique se désagrège. Trente mille ans de chaos sont au programme. Et moi, j'en ai trop fait et je suis las. Oui, je m'appelle Hari Seldon et je vois que ce nom vous dit quelque chose. Tout ce que j'ai fait, c'est de poser les équations et d'agir. Les équations ne mentent pas. D'ailleurs vous le savez. Je ne voudrais pas jouer les prophètes, mais quand j'allume mon Premier Radiant, je lis l'avenir de l'humanité. Le chaos prévu sera réduit à un petit millier d'années. Je ne pourrai pas y veiller personnellement, mais tout est en place. Je me suis laissé accaparer par ma tâche et, à l'heure de partir, je regrette d'avoir négligé les gens qui m'accompagnaient. Mais ce n'est pas moi qui ai décidé. Les équations ne me laissaient aucune échappatoire. Je continue à venir ici dans mon bureau. Je crois parfois y entendre des voix, celles de mes parents, de mes étudiants, de mes collègues mais les couloirs sont vides. La Fondation est faite et le bâtiment de psychohistoire ne sert plus à rien. La suite se passe ailleurs.

Madhatter

a attribué 10/10 au livre

L'Aube de Fondation

Forward the Foundation

1993 • livre de Isaac Asimov

Résumé : L'univers uni, c'est fini. L'Empire galactique se désagrège. Trente mille ans de chaos sont au programme. Et moi, j'en ai trop fait et je suis las. Oui, je m'appelle Hari Seldon et je vois que ce nom vous dit quelque chose. Tout ce que j'ai fait, c'est de poser les équations et d'agir. Les équations ne mentent pas. D'ailleurs vous le savez. Je ne voudrais pas jouer les prophètes, mais quand j'allume mon Premier Radiant, je lis l'avenir de l'humanité. Le chaos prévu sera réduit à un petit millier d'années. Je ne pourrai pas y veiller personnellement, mais tout est en place. Je me suis laissé accaparer par ma tâche et, à l'heure de partir, je regrette d'avoir négligé les gens qui m'accompagnaient. Mais ce n'est pas moi qui ai décidé. Les équations ne me laissaient aucune échappatoire. Je continue à venir ici dans mon bureau. Je crois parfois y entendre des voix, celles de mes parents, de mes étudiants, de mes collègues mais les couloirs sont vides. La Fondation est faite et le bâtiment de psychohistoire ne sert plus à rien. La suite se passe ailleurs.