J'ai pris beaucoup de plaisir à regarder la saison 1 de Ripley.

Le roman policier mettant en scène l'escroc Tom Ripley, joué par Andrew Scott, le fils d'un homme riche Dickie Greenleaf, joué par Johnny Flynn et sa petite amie Marge Sherwood, jouée par Dakota Fanning et Maurizio Lombardi pour l'inspecteur Pietro Ravini.

M. Greenleaf, un riche Américain, demande à Tom Ripley de convaincre son fils Dickie, parti en Italie, de revenir à la maison. Tom Ripley se rend en Italie et envie Dickie, qui peint et mène une vie élégante à Amalfi. L'histoire a été reprise dans des films et des drames et est bien connue.

L'expression "Quel soulagement. Ca y est" sur le visage de Tom juste avant son dernier coup de pouce dans le bateau identifie définitivement ce personnage et me rappelle plusieurs méchants.

Ce méchant, contrairement au professeur James Moriarty, interprété par Andrew Scott dans "Sherlock" (2010), ne s'extasie pas sur ses tentatives diaboliques, n'est pas non plus comme Richard III, l'un des méchants les plus célèbres, qui se livre à de longs soliloques poétiques.

Il n'est pas non plus comme le méchant de "Plein soleil" (1960) de René Clément, où les personnages se disputent. Au contraire, ce méchant se concentre sur des mensonges intelligents et calmes pour tromper l'inspecteur, Marge, la banque, le détective américain et le père de Dickie.

Le père de Dickie et sa petite amie Marge ont été complètement trompés par Ripley et croient que Dickie s'est suicidé. De plus, ils pensent que Ripley est l'un des leurs qui aime Dickie. Dans cette situation, seul l'inspecteur Pietro Ravini donne de la noirceur et de la gravité à l'acte maléfique.

On attend avec impatience la saison 2. De quelle région du monde est originaire la femme de l'inspecteur Ravini ? (je plaisante.)

Les paysages de différentes régions d'Italie, dont Amalfi au bord de la mer, la vue sur les canaux de Venise et les pavés de Rome. De nombreuses œuvres et épisodes du Caravage sont présentés. Des accessoires de qualité, notamment une bague, des chemises, des chaussures, des robes, un tableau de Picasso, des cendriers, un verre à cocktail, un stylo, des machines à écrire Hermès et une valise. Il ne s'agit pas seulement d'une fiction policière palpitante, mais aussi d'un drame qui nous incite à visiter les lieux, accompagné de chansons d'amour italiennes romantiques.

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