"Les Cafards" de Jo Nesbo (Norvège), en voilà une daube qu'elle est pas bonne.

L'auteur s'est aperçu, juste avant de finir, qu'il avait oublié la traditionnelle scène de torture. Il nous ajoute ça vite fait sur la pouce (oups !), un gars se fait découper les menottes afin de donner l'adresse de gars qui sont dans l'annuaire.

Traduit avec les pieds par Alex Fouillet et le tout chez Galimard-Folio-Pocket :

"- J'ai demander à Molher..."... si moi je vois une fôte, c'est qu'elle est vraiment grosse

"... une personne, debout le long du mur."... et couchée le long d'un mat de misaine ?

"... les hélices de bateaux placées au bout de longs haubans" ... confondre une corde et un arbre d'hélice, faut l'faire.

"expulser" à la place de "détrôner" ou "supplanter"

"...tandis que le sang emplissait son arcade sourcilière par l'intérieur"... des fois qu'il fasse le tour.

"- Vous saviez que sa femme a un amant ?" ... concordance pour plus tard

Et je vous dis pas le nombre de virgule avant le "et"...

Une seule scène sauve ce navet : le chauffeur de l'ambassadeur (oui, celui qui mange des Ferrero) accueille ses visiteurs sur le trottoir par honte de montrer son intérieur qu'il juge trop simple.

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Activité sur Les Cafards