"Mais on est tous un peu fous à notre manière"
La solitude dévore l'homme comme l'oiseau dévore ses proies, elle ronge le corps et l'âme. On se plonge dans ses souvenirs, puis on se fond en eux, et on devient souvenir. On finit alors à demi-mort, et donc avec un semblant de vivant, comme cet