Complainte-pastiche des soirs de pluie
À toi, baiseur frondeur, aux phases ineffables,Écrivant dans la nuit des vestiges de deuil :Je pastiche pour rire- Et pour me souvenir -Tes chansons de minuit où voltigent les feuillesD’un automne grondeur. Pfeuh ! l’incipit de fable !Une stropheEt