Avatar 2 : il prend l'eau de toute part.
Autant d'années, autant d'argent, autant de technologie pour aboutir à un film (trop) long, si peu inventif, au scénario ultra convenu. Mêmes ressorts scénaristiques que le premier épisode, des poncifs en veux-tu en voilà sur la famille, un prêchi