Activité sur Les Rapines du Duc de Guise - La Guerre des trois Henri, tome 1
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livre de Jean d'Aillon
Résumé : Les rapines du duc de GuiseLe premier volume de la trilogie de Jean d'Aillon consacrée à la Ligue et aux guerres de religion.1585. Après trente ans de guerre civile et le massacre de la Saint-Barthélemy, la France est plus divisée que jamais. Trois Henri se disputent un trône à l'équilibre fragile. Henri III veut garder sa couronne, mais n'a pas d'héritier. Henri de Navarre, le protestant, tient à faire valoir ses droits, mais Henri de Guise, l'ultracatholique, refuse de laisser un hérétique régner sur la France.Sous la direction de Henri de Guise, la Ligue organise un vaste rapinage de l'impôt de la taille, afin de lever une armée catholique. C'est en recherchant l'assassin de son père, contrôleur des tailles, qu'Olivier Hauteville va croiser la route des ligueurs. Il rencontre également Cassandre, une jeune protestante qui a bien des raisons de s'intéresser à cette enquête.Jean d'Aillon vit en Provence. Abandonnant provisoirement le héros qui Va fait connaître des amateurs de romans historiques, le notaire Louis Fronsac, il se penche aujourd'hui sur l'époque passionnante de l'avènement de la Ligue catholique.À paraître en 2009 :° Tome II : La Guerre des amoureuses° Tome III : La ville qui n'aimait pas son roiExtrait du livre :Lundi 7 janvier 1585, lendemain de l'EpiphanieOlivier Hauteville rentrait chez lui fort contrarié. Il n'avait pas trouvé le père Jean Boucher, recteur de la Sorbonne et curé de Saint-Benoît de la Sainte-Trinité, au rendez-vous que le religieux lui avait donné.Le jeune homme lui avait écrit avant les fêtes de Noël afin de convenir d'une date pour la soutenance de sa thèse en philosophie. La lettre avait été portée par Gilles - son valet - et le recteur avait répondu verbalement qu'il le recevrait à tierce le 7 janvier devant l'imprimerie de la Sorbonne.Il n'y était pas, et Olivier l'avait attendu en vain avant de se rendre à la cure de Saint-Benoît, près de Sainte-Geneviève, où habitait Jean Boucher. Personne ne s'y trouvait, pas même un domes