Activité sur Paulina 1880
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1925 • livre de Pierre Jean Jouve
Résumé : Paulina Pandolfini. Née à Milan le 14 juin 1849. Fille cadette de Mario Giuseppe Pandolfini et de Lucia Carolina son épouse. Célibataire sans profession. A séjourné comme novice dans le couvent de la Visitation à Mantoue de 1877 à 1879. A tué à Florence, le 28 août 1880, son amant le comte Michele Cantarini. Condamnée par jugement de la Cour de Florence en date du 12 avril 1881, à vingt-cinq années d'emprisonnement. A purgé sa peine dans la prison judiciaire de Turin jusqu'au 15 juin 1891, date à laquelle elle fut graciée. André Pieyre de Mandiargues : « Paulina 1880 (1925) est le point de départ de cette œuvre narrative. Ecrit sous forme de courts fragments, cent dix-neuf en tout, cet adorable roman, que j'ai relu dix ou vingt fois peut-être, mêle de façon la plus inextricable et la plus naturelle le monde érotique et le monde mystique (...). Dans le personnage de Paulina, l'un des plus fascinants « personnages féminins » de la littérature, il n'est pas défendu de voir l'incarnation d'une partie au moins de l'âme de Jouve. », « Le Roman rayonnant », in Troisième belvédère, Gallimard, Paris, 1971.
1925 • livre de Pierre Jean Jouve
Résumé : Paulina Pandolfini. Née à Milan le 14 juin 1849. Fille cadette de Mario Giuseppe Pandolfini et de Lucia Carolina son épouse. Célibataire sans profession. A séjourné comme novice dans le couvent de la Visitation à Mantoue de 1877 à 1879. A tué à Florence, le 28 août 1880, son amant le comte Michele Cantarini. Condamnée par jugement de la Cour de Florence en date du 12 avril 1881, à vingt-cinq années d'emprisonnement. A purgé sa peine dans la prison judiciaire de Turin jusqu'au 15 juin 1891, date à laquelle elle fut graciée. André Pieyre de Mandiargues : « Paulina 1880 (1925) est le point de départ de cette œuvre narrative. Ecrit sous forme de courts fragments, cent dix-neuf en tout, cet adorable roman, que j'ai relu dix ou vingt fois peut-être, mêle de façon la plus inextricable et la plus naturelle le monde érotique et le monde mystique (...). Dans le personnage de Paulina, l'un des plus fascinants « personnages féminins » de la littérature, il n'est pas défendu de voir l'incarnation d'une partie au moins de l'âme de Jouve. », « Le Roman rayonnant », in Troisième belvédère, Gallimard, Paris, 1971.