J'ai été séduit par la pochette. Un truc bien psychédélique, pas du tout dégueulasse comparé à ce qui se fait parfois dans le monde du metal. Cependant, et j'ai très vite compris pourquoi cette pochette était autant soignée. C'est du power. Et que le power, bah c'est insupportable à écouter pour des oreilles humaines normalement constituées. Et ne levez pas les yeux au ciel, vous savez que c'est vrai.
J'ai eu l'honneur de voir deux groupes de powe en 2011 au Sonisphere en attendant Gojira. J'ai souffert au possible. Evergrey et Symphonia. Autant, Evergrey, ça aurait pu avoir de la gueule et un truc plutôt poussé, autant Symphonia c'est ni fait ni à faire. Bref, je m'égare, en fait. Et je parle même pas de Dream Theater le soir-même qui m'a permis de faire une petite sieste avant d'assister à SlipKnot.
Bref, je n'aime pas le power metal, et cet album est juste inécoutable avec ses nappes de synthé so 80's et la voix de castrat du chanteur.