J’ai découvert Agnes Obel il y a peu avec la chanson Riverside qui passait à la radio (merci FIP !). Et c’est en creusant un peu dans la discographie de celle-ci que je suis tombé sur cet album qui se démarquait des autres.
Troisième album studio de la charismatique chanteuse danoise, Citizen of Glass m’a fasciné par ses richesses musicales. Elle va expérimenter différents mélanges entre les sons électroniques et les sons plus anciens notamment avec l’utlisation d’un trautonium, instrument utilisé pour la bande son des Oiseaux d’Hitchcock (un film très apprécié par la chanteuse).
Quant à la voix de la chanteuse, elle est sublime tout simplement. A la fois fragile et fantomatique comme dans Familiar par exemple, elle arrive à nous faire ressentir des émotions, celle-ci voulant creuser sur la notion de citoyen de verre. La transparence. Se révéler au monde tout en étant vulnérable et fragile.
Citizen of Glass se démarque clairement des deux premiers albums par ses nouveaux sons délaissant quelque peu le style acoustique.