Critique de par Yasujirô Rilke
En six concertos, les doigts Benjamin Grosvenor déploient, comme il se doit avec Chopin, avec délicatesse et sagacité, accompagné des cordes de violons, le faste, l'allégresse et le chagrin solaire...
le 24 mars 2020
Critiques
En six concertos, les doigts Benjamin Grosvenor déploient, comme il se doit avec Chopin, avec délicatesse et sagacité, accompagné des cordes de violons, le faste, l'allégresse et le chagrin solaire...
le 24 mars 2020