L'exercice pouvait vite déraper. Tout dépendait du dosage et du degré de stupidité à mettre pour que le cru 2012 de "21 jump street" soit potable.
Et donc, finalement, il s'avère que les blagues potaches, juste débiles comme il faut, le duo de choc, complémentaire et efficace, les petits détails savoureux (surtout l'apparition sympathique de deux guests stars bien choisies à la fin, il n'est pas difficile de deviner qui), cette atmosphère ambiante à la limite du n'importe quoi, rendent ce "21 jump street" tout à fait convenable. Acteur, scénariste, réalisateur, chacun a le mérite de ne pas se prendre au sérieux.
Moi j'adhère, et j'en reprendrais bien une part.