"Bad Santa 2" n'a rien compris à l'essence du 1er "Bad Santa". Là où celui-ci utilisait la vulgarité pour montrer la détresse de son personnage principal et sa misanthropie, celui-là l'utilise comme un ressort comique incessant. Le problème, c'est que tout l'humour du film est basé sur des échanges d'insultes entre les protagonistes. Quel intérêt ?
D'autant plus que le reste est une redite du premier : un casse avec un père Noël et un lutin. Même l'arrivée d'un nouveau personnage en la mère du Bad Santa n'arrive pas à soulever le moindre intérêt.
Et la déception est encore plus grande lorsque l'on constate que le scénariste et le réalisateur ont réussi à embaucher Christina Hendricks et qu'ils la laissent sur le banc de touche !
Bref, une suite sans aucun intérêt.