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Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

SLEEMSC MYC

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et lui a attribué 7/10

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Balbutien

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MMXXIV - Une année de moins

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

SansCulture

a attribué 8/10 au film

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1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Filmipe

a recommandé le film

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(Re)découvert en 2024

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

frontb173

a attribué 6/10 au film

Artmure

a attribué 7/10 au film

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1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

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ioulia-la-perdrix

a attribué 8/10 au film

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

bunowa

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1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

emile_wld

a attribué 5/10 au film

Aboulie

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Reminiscences

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Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Schlesinger

a attribué 9/10 au film

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Séances obscures Vol. IV

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Rafufux

a attribué 7/10 au film

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Désordre

a attribué 9/10 au film

Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Paul SAHAKIAN
Cesarée

1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Aliosha Costes

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OGrand Rutten

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lechesnebaptiste

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1978 • Court-métrage de Marguerite Duras

Synopsis : Errance dans Paris, un matin de l’été 1979. La caméra flotte dans le Jardin des Tuileries, tourne autour des statues d’Aristide MAILLOL éparpillées sur la pelouse, descend les allées. Au fond, le palais du Louvre que l’on devine sous une brume matinale. Plans embrassant la Place de la Concorde, son obélisque et ces grandes statues emprisonnées dans des échafaudages. Défilement de la voix de Marguerite DURAS. Evocation de « l’intolérable douleur ». La caméra glisse sur la Seine qui borde cet endroit du Monde et remonte le cours du temps. Rome, au premier siècle de notre ère. C’est l’histoire d’une passion impossible. Titus succédant à son père, l’Empereur Vespasien, aime Bérénice, la reine de Palestine, mais les coutumes romaines s’opposent à cet amour, un empereur ne pouvant épouser une reine. C’est la douleur de Bérénice abandonnée par Titus, sous la pression de la volonté populaire. C’est son voyage exil vers la terre natale de Césarée, capitale de la Samarie en l’an 79, une ville dont il ne reste que le nom. -- Tout comme pour LES MAINS NEGATIVES (1979), les images de CESAREE (1979) sont issues de la matière inexploitée du long métrage LE NAVIRE NIGHT (1979) de Marguerite DURAS. Marguerite DURAS recompose ici ces rushes pour évoquer – en voix off – Césarée, une ville où résonne le souvenir de Bérénice.

Elucidaire

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