Un film de Godard, c’est comme une tablette de Toblerone. Un gros Toblerone. T — O — B — L — E — R — O — N — E.
(* écrit en néon sur le toit d’un immeuble)
En gros, tu bouffes un morceau, un tableau, t’as tout vu et rien compris. Les noisettes, c’est les références permanentes qu’il sera le seul à comprendre (on ne voit parfois même pas ce que lisent ses personnages, mais c’est sûr, voir plein de bouquins à l’écran, c’est aussi classe que des acteurs en train fumer), et le chocolat, c’est ces éternels aphorismes visuels. Parfois c’est poétique, mais c’est vide et plein de prétention. Un boxeur qui file une gauche, puis une droite à deux nichons dont la propriétaire l’incite à travailler encore et encore ses enchaînements, c’est vrai, c’est mignon.
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