Hearts and darkness
Alors qu’on n’en peut plus de lire les accroches « une lettre d’amour au cinéma » placardées partout à l’occasion des imposantes promos des récents Babylon et The Fabelmans, voici qu’arrive le...
le 3 mars 2023
65 j'aime
10
Le jeu d'acteur est aux petits oignons, Olivia Colman est toujours aussi juste, et Michael Ward, que je découvre, m'a agréablement surpris. Les images et les plans sont très beaux et très épurés (ce qui nous feraient presque aimer les plages de nos voisins britanniques). Monsieur Roger Deakins y est probablement pour beaucoup et on l'en remercie. Durant les deux heures du film, un grand nombre de thématiques sont abordés, que ce soit la solitude, le racisme, la différence d'âge, la pathologie psychiatrique, mais, finalement, chacune d'elle n'est qu'effleurée, sans grande profondeur malheureusement. On a beaucoup de mal à saisir le message qu'à souhaité nous transmettre le réalisateur au travers de ce film...
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2023
Créée
le 26 mars 2023
Critique lue 21 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Empire of Light
Alors qu’on n’en peut plus de lire les accroches « une lettre d’amour au cinéma » placardées partout à l’occasion des imposantes promos des récents Babylon et The Fabelmans, voici qu’arrive le...
le 3 mars 2023
65 j'aime
10
Sacré Sam Mendes. Discrètement, ce réalisateur est en train de se construire une filmographie exceptionnelle, car très hétérogène (à l'image d'un Kubrick), mais qui fait toujours mouche (à l'image...
Par
le 12 mars 2023
37 j'aime
6
La tentation de faire une analyse comparée est grande quand on nous offre en ce début d'année deux films qui font l'apologie de l'amour du cinéma, selon les affiches placardées partout sur les...
Par
le 4 mars 2023
32 j'aime