Sorti à la même période que Matrix, un autre film traitant des réalités virtuelles, du questionnement de "comment sait-on qu'on est sorti d'un monde virtuel, si jamais celui-ci imite à la perfection la réalité" mais traité ici sur fond de délires paranoïaques (on retrouve des éléments vu dans l'adaptation du festin nu) et des classiques obsessions organiques de Cronenberg (les pods sont vraiment space, bien qu'ils fassent un peu plastique et
le pistolet en os et lambeaux est top).
A la fin, on s'y perd un peu, c'est dommage. A noter que c'est un des rares films que j'ai vu où Jennifer Jason Leigh ne se retrouve pas nue :D