Trop prévisible
Harrison Ford rempile dans un énième thriller où il doit encore sauver sa famille, en bon père de famille américain qu'il est, des griffes d'affreux méchants. Richard Loncraine signe un thriller...
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le 13 mai 2014
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En 2006, on fait donc encore des films comme ça : des films où un Harrison Ford cacochyme fait semblant d'être encore un "Fugitif", où les héros sont riches et ont une belle maison et un yacht, où le grand méchant est un acteur anglais, et où une intrigue policière faussement maligne se résout finalement à grands coups de poing avant que la famille ne puisse finalement - et à nouveau - être réunie. On regarde ce "Firewall" d'une banalité et d'une mollesse à pleurer, en espérant que quelque chose adviendra quand même, qui piratera le programme inepte et fera advenir quelques minutes de cinéma. En vain, sans doute parce que ni les scénaristes ni le réalisateur ne se sont aperçus que le temps avait passé et qu'il n'était plus possible, à l'époque où les séries TV avait revitalisé le suspense, de parler de l'informatique et de la technologie avec autant de ringardise.
[Critique écrite en 2006]
Créée
le 16 juil. 2018
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