La Galice jusqu'à l'hallali
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Yusuf, un jeune garçon de la banlieue d'Adana, au sud de la Turquie, vit, dort et mange sur un toit. Au plus près de sa seule passion : les pigeons. Ce film minimaliste de Banu Sivaci, tant par la durée que par son scénario, séduit un peu par son côté sincère et sans apprêts mais aussi par l'interprétation de son personnage principal. Difficile, sinon, de s'intéresser plus que de raison à une intrigue qui reste assez prévisible tant l'on se doute qu'il va arriver quelque chose de néfaste à ces sacrés pigeons. Quelques pistes narratives sont ébauchées (rapport du héros avec son frère et sa mère, aventure sentimentale potentielle) mais ne sont pas exploitées. On en revient toujours à ces foutus pigeons.
Créée
le 29 déc. 2019
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