Il était une fois,
un enfant si jeune qui pouvait voyager juste en suivant le fil de sa pensée, un enfant comme les autres dérivant dans son imagination. Ce petit homme, lors de la veillée de noël, ne dormait pas car il attendait ses cadeaux avec grande impatiente. A l’encontre de sa volonté, il tombât dans un sommeil profond qui le fit voyager dans une cité où le conte fait règne, avec l’horreur que tout enfant a lors de son plus jeune âge, un père noël inexistant. La peur et l’horreur se rejoignent pour délivrer un univers totallement différent que celui dans lequel nous sommes.
L’enfant, parcourt les rues et ruelles de l’inconnu, croisent d’autres enfants aux services d’adultes. La garde aveugle qui se montre comme une secte enlève les enfants se trouvant dans cette cité. Par le destin, notre chèr enfant bien aimé se fait enlevé par ceux-ci pour être envoyé sur une île perdue, à côté d’un champs de mine, habitée par un professeur souffrant du non-bonheur, qui par ailleurs vole les rêves et cauchemars des enfants, et soutenu par une naine et ses six clones narcoleptiques. Ce jeune homme fuit ces êtres pour se retrouver dans la mer où il trouva refuge dans un antre d’une personne perdue, l’original. Son scaphandrier qui lui a permis de le retrouver est tout simplement immense, digne des premiers hommes ayant posés le pied sur la lune. Dans son sommeil, l’original parle d’une autre enfant qu’il aurait sauvé, une certaine Miette, qui a failli se faire tuer par cette garde avec un homme venant du cirque, One. Après avoir parcouru cette cave, l’enfant décide de sortir et de remonter à la surface, l’endroit qui lui faisait le moins peur. L’orgue de barbarie sonne entre les rues qu’il voie défilées dans ses yeux apeurés. Il les ferme et tentent alors de s’endormir pour lui faire passer son mauvais rêve.
Tout ça pour dire que ce film est un conte horrifique et magnifique qui vous ferra voyager dans l’imagination des enfants que nous étions. Un film comme il n’y en aura plus.