Rien que pour la scène de l'enterrement

Il existe en ce moment une sorte de consensus général sur le fait que le cinéma français vivrait une période de faiblesse après des décennies d’un équilibre réussi entre auteurisme et films...

Le cinéma de Rabah Ameur-Zaïmeche a la réputation, globalement justifiée, d'être très exigeant. Ceci étant, Le gang des bois du temple ne l'est pas tant que cela, pour peu que l'on accepte de se...

« Aujourd’hui, maman est morte ». Tels pourraient être les mots qui, comme dans L’Etranger (1942) de Camus, ouvriraient ce septième long-métrage de Rabah Ameur-Zaïmeche (1966, Algérie -). Sans...

Je n'ai pas grand chose à ajouter aux critiques déjà lues mis à part ce qui est pour moi le point central, la conclusion et la morale du film. Je m'explique. Dans une scène au début du film le...

Pas grand chose à ajouter sur le reste, le jeux d'acteurs est bon, l'histoire beaucoup plus réaliste que grand nombre de films de banlieue ou sur le grand banditisme.

La problématique du rejet quasi total du monde moderne et de la société capitaliste y est bien représentée : vivre selon ses codes, sa morale, en ayant de cesse de développer ses capacités primaires,...