Critiques de Let's Get Lost

Aurea
8

Gloire et Déchéance

ll fut jeune et beau, c'était un trompettiste de génie : des femmes l'ont adoré, des hommes l'ont admiré, comme Bruce Weber qui a choisi d'accompagner Chet le maudit. Interviews des femmes de sa...

le 1 déc. 2011

39 j'aime

32

G_Savoureux
9

This is always

Il est des personnages de cinéma qui marquent. Leur charisme, leurs aventures, leur présence suffit même parfois à construire une histoire passionante. Cela peut tenir à peu de chose. Un regard...

le 24 oct. 2010

8 j'aime

JohnnySunshine
9

Critique de par JohnnySunshine

Ce qui n'aurait pu être que la réalisation déformée mais très belle d'un autre caprice de Bruce Weber, après Broken Noses, constitue en fait ce qui est probablement l'un des documents les plus proche...

le 19 juin 2016

4 j'aime

3

Fleming
8

Au plus près du trompettiste Chet Baker et de ce qu'il était comme homme et artiste

Chet Baker (1929-1988) était un grand et célèbre trompettiste de jazz américain, au même titre que Louis Amstrong, Lionel Hampton, Miles Davies et Dizzy Gillepsie. Il s'est notamment illustré, dans...

le 3 juil. 2024

1 j'aime

2

BigDino
8

Je suis une légende

Un documentaire sur le grand Chet Baker a de quoi faire envie aux amateurs de jazz. Le trompettiste légendaire, et sa voix à la fois voluptueuse et intense, en est l'un des géants. N'occultant pas la...

le 20 juil. 2024

In_Cine_Veritas
3

Biais narratif

Dans Let’s get lost, Bruce Weber ambitionne de réaliser une œuvre biographique portant sur le chanteur et trompettiste de jazz Chet Baker. Le cinéaste ne révolutionne pas le genre en usant de...

le 27 janv. 2024

YasujiroRilke
5

Critique de par Yasujirô Rilke

Webber amène les témoignages à revenir à plusieurs reprises sur ce jour où Baker perdît toutes ses dents. La cohésion des deux parties et le groove jazz patent plus ou moins prononcé rappelle Baker...

le 2 juin 2018

marspilot
9

Critique de par marspilot

Un grand voyage en noir et blanc, des plages sans fins de santa monica aux trottoirs sales de chicago, et toujours l'incomparable voix de Baker, et les sourires de ses maitresses.

le 19 mai 2012