OK ! Ce film aurait pu me plaire, en dehors de son sujet, si l’humour ne tombait pas toujours à plat. Mais au bout d’une demi-heure, je me trouvais déjà en surdosage d’absurdités, trop pour que je n’en supporte davantage. Le problème, en ce qui me concerne, est l’histoire parfaitement de mauvais gout : un enfant solitaire (à l’exception de son ami cochon d'Inde vulgaire et tapageur) découvre les joies de la vie de proxénète. Pas besoin d’en dire plus pour comprendre le niveau… Un propos presque irresponsable, qui plaira sans doute aux adeptes de l’humour très noir et du quinzième degré. Moi, je ne suis pas parvenue à passer outre cette histoire qui me mettait vraiment mal à l’aise, notamment parce que le film n’est pas amusant, et de ce fait, je n’avais plus aucun intérêt de le regarder. La seule question que je me posais, c’était, jusqu’où iront les scénaristes dans l’escalade de la bêtise ? Mais le film, en lui-même, ne m’a pas intéressé. Voici un nouvel exemple qui tend à démontrer qu’il ne suffit pas de faire n’importe quoi d’un scénario pour le rendre intéressant, souvent cela en devient insupportable.