Critique de par Yasujirô Rilke
Dans sa ville natale, Ôbayashi laisse trainer sa caméra, comme un "miroir le long du chemin" et recompose, par son montage halluciné, la ville mentale telle qu'il la fantasme, la rêve. La cauchemarde...
le 17 nov. 2020
Critiques
Dans sa ville natale, Ôbayashi laisse trainer sa caméra, comme un "miroir le long du chemin" et recompose, par son montage halluciné, la ville mentale telle qu'il la fantasme, la rêve. La cauchemarde...
le 17 nov. 2020