Orange mécanique par Christophe
Marrant de découvrir ce film des années après une sortie en salle controversée, quand on est de la génération suivante.
On imagine une ultra-violence traduite par l'image, mais tout n'est que suggestion et psychologie, les scènes de baston restant bien en-dessous, dans le montré, de ce qu'on peut voir dans une série de flics US.
Kubrick nous fait découvrir un groupuscule en esthétisant la violence au maximum et démonte l'Etat en en révélant sa face la plus odieuse et inefficace.
Très chouette (et je rêve d'une table au Moloko)
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