Critique de par Yasujirô Rilke
Peut-être le premier film d'Ôbayashi où se décèle la ferveur formelle, à maturité, de ce qu'on aime tant dans son chef-d'oeuvre "Hausu". Les motifs du vampire, du cimetière, de la jeune femme pure et...
le 17 nov. 2020
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