Le style Blax
La décennie 70 voit le retour du "private detective" avec le mythique Philip Marlowe de Raymond Chandler dans plusieurs films et avec des interprètes différents (Elliot Gould ou Robert Mitchum), J.J...
Par
le 20 avr. 2020
18 j'aime
5
Dommage, c'est un peu mou.
L'intrigue n'est pas très riche, il ne se passe pas grand chose et l'on s'ennuie un tantinet. Il y a tout de même un objectif principal grâce auquel on sait où on va, des personnages, des conflits, de quoi générer des attentes. C'est juste qu'on espère que ça aille plus loin. Les répliques sont amusantes, c'était l'époque bénie où l'on ne se prenait pas vraiment au sérieux.
La mise en scène sent un peu le fauché par moment ; c'est surtout pour les intérieurs du bureau de police et de la maison du policier que l'équipe semble s'être le moins investie ; les décors sont serrés, la déco paraît un peu forcée ; pour le reste, c'est déjà mieux. Le casting est sympathique, même si tout le monde ne joue pas très bien.
Bref, ça se regarde, ça reste globalement amusant, mais je m'attendais à un délire plus marquant.
Créée
le 4 févr. 2020
Critique lue 131 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Shaft - Les Nuits rouges de Harlem
La décennie 70 voit le retour du "private detective" avec le mythique Philip Marlowe de Raymond Chandler dans plusieurs films et avec des interprètes différents (Elliot Gould ou Robert Mitchum), J.J...
Par
le 20 avr. 2020
18 j'aime
5
Gordon Parks, grand bonhomme de la photo américaine, fut en son temps le premier réalisateur noir à se voir confier une caméra par une grande maison hollywoodienne pour son premier film, l'obscur The...
le 16 avr. 2013
14 j'aime
La meilleure façon de résumer le film reste encore de traduire les paroles de le chanson éponyme qui a remporté un Oscar, rien que ça : " Il est cool, c'est un coriace. C'est un privé noir, une...
Par
le 13 mai 2012
7 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
119 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55