Australie, 1867, trois heures moins le quart de l'après-midi (à peu près) : un bandit mélomane enlève une jeune fille, la séduit et la pousse à exploiter son talent de chanteuse. Succès mondial de la susdite qui n'a pas pour autant oublié son hors-la-loi chéri. Wellman a tourné une vingtaine de films dans la période 1931/1934. Forcément, il y a du déchet. Ce western chantant est d'une inocuité totale et d'un ridicule achevé. Irene Dunne, royale malgré tout, sauve ce qui peut l'être. Presque rien.

Cinephile-doux
4
Écrit par

Créée

le 5 août 2019

Critique lue 173 fois

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 173 fois

D'autres avis sur Stingaree

Stingaree
Cinephile-doux
4

Bandit mélomane

Australie, 1867, trois heures moins le quart de l'après-midi (à peu près) : un bandit mélomane enlève une jeune fille, la séduit et la pousse à exploiter son talent de chanteuse. Succès mondial de la...

le 5 août 2019

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13