L'actualité sur Tant pis

Les dernières actions

DaKroG

a attribué 7/10 au film

et l'a ajouté à sa liste

Vu en...2025

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Kyrn Uhb

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

olk

a attribué 8/10 au film

et l'a ajouté à sa liste

Shows

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Yan_CK

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Jaggy

a envie de voir le film

Sven Kurt-Pajn

a attribué 8/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Yorg_Snake

a attribué 8/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Boris22

a attribué 6/10 au film

Thibalt LE Vagabond

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

JeremGab

a recommandé le film

et lui a attribué 8/10

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Alex-La-Biche

Psartek la grosse Séverine.

Le 16 nov. 2024

Jeremy_Gaborieau

Valérie !!

Le 19 nov. 2024

Alex-La-Biche

ah oui saperlipopette.

Le 19 nov. 2024

Esbroufe

a attribué 7/10 au film

et le regarde actuellement

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Marion Sabatier

a attribué 8/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Mannishboy

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Nikeau

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Akajinus

a attribué 6/10 au film

KebabMalin

regarde actuellement le film

M_aiz

a attribué 8/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Ivan Desnouilles

a attribué 6/10 au film

RobinFissore

a attribué 5/10 au film

Klaimant

a recommandé le film

et lui a attribué 10/10

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

jomp3

a attribué 7/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Thibs007

a attribué 8/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

Robert Johnson

a attribué 6/10 au film

Klaimant

a envie de voir le film

Esbroufe

a envie de voir le film

Mr_Step

a envie de voir le film

MaggiAroma

a attribué 9/10 au film

Tant pis

2019 • Spectacle de Aymeric Lompret

Synopsis : "Il boit, fume, débarque sur scène les cheveux et la barbe en bataille, tee-shirt noir sur le dos et anneau à l'oreille. Aymeric Lompret cultive le look du rockeur anar négligé, et l'air du mec faussement à l'ouest, quelque part entre François Damiens et Thomas VDB. Après avoir assuré les premières parties de ses amis Blanche Gardin et Pierre-Emmanuel Barré, le Lillois de 30 ans présente son propre spectacle, « Tant pis ». Peaufiné par Barré, ce deuxième one man show jongle entre humour trash et social. Issu de la « classe moyenne », Aymeric fuit très vite une classe préparatoire d'HEC (école des Hautes études commerciales). « On nous a dit qu'on serait l'élite de la France, je me suis cassé ». Il enchaîne alors les boulots physiques, ouvrier (« c'est le camarade de classe que tu ne vois plus après le collège ») puis animateur dans un village vacances. « Avant ça, j'étais un peu de droite », sourit-il. Depuis, il penche très fort à gauche. Dans son spectacle, il est souvent question d'inégalité des classes, même celles du train. En sous-titre, on peut y lire un appel à la bienveillance, surtout envers les plus fragiles. Il raille le chanteur Renaud, passé de « Société tu m'auras pas » à « J'ai embrassé un flic ». « J'espère que c'est pas l'alcool qui l'a rendu comme ça parce que moi dans deux ans je vote Séguéla ». Aymeric cogne sur les hommes politiques, les médias, le capitalisme, mais beaucoup moins fort qu'un Pierre-Emmanuel Barré. « Le premier objectif de l'humour, c'est de faire marrer. On n'est pas là pour faire la morale ni pour jouer les philosophes des temps modernes ». Terrains sensibles Le contrat est bien rempli. Quand il lâche : « Je suis très compliqué à réconforter, faut vraiment aller jusqu'à la glotte », on est loin du traité de philosophie. Ce genre de vannes sales, comme les amateurs d'humour trash en raffolent, mitraille le spectacle. Il marche sans pression sur des terrains sensibles, de la pédophilie aux faits divers médiatiques. On aime cette nonchalance, un peu moins quand elle ramollit certains sketchs aux sujets moins audacieux. Aymeric Lompret revendique aussi un humour absurde, ascendant Monsieur Fraize, même si cette musique sonne plus discrètement. Et contrairement aux virtuoses du stand-up, l'improvisation n'est pas son truc. Ni les imitations. Alors forcément, il s'y jette tête la première, se casse les dents, et sa chute fait rire le public. Fragile et touchant. Un homme normal, on vous dit." (Anissa Hammadi http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/aymeric-lompret-l-humoriste-normal-05-11-2018-7935738.php )

kemalfghfggh

a attribué 6/10 au film