Une vraie jeune femme*

Solange vie passionnément ces plans culs. Électron libre à l'image d'une capitale et de ça rive gauche. Essayant d'accomplir une utopie Individualiste. Celle d'aimer de toute les manières possibles en se targuant d'être insaisissable pour qui croyais l'obtenir. Mariée à un bourgeois, elle est amoureuse de son acteur principal puis craque pour un metteur en scène plus pervers qu'elle ! Ensemble il s'amuseront d'un jeu masochiste pour elle et sadique pour lui.

Dans cet auscultation des rapports d'une femme appartenant à une élite artistique se démarque l'idée d'une impossibilité dans la constance relationnel mais aussi une jouissance dans cet choses inacceptable socialement chez une femme aux yeux du monde. La soumission vécu comme quintessence de la passion amoureuse.

Le film est tout aussi pertinent pour la prestation de son actrice principal Dominique laffin, actrice secrète et prématurément disparu et de son partenaire Bertrand Bonvoisin mystère occulte provenant du théâtre. Mention spéciale à Joe Dallesandro qui passe une tête et à Gérard Lanvin qui joue les loubard.

*Clin d'oeil au premier film de la réalisatrice, le titre de ma critique fait référence à l'aspect miroir inversé de Une Vraie Jeune Fille (1975).