L'actualité sur Tonnerre sur mer

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jesuisunchat

a attribué 8/10 au film

Tonnerre sur mer

2018 • Moyen-métrage de Yotam Ben-David

Synopsis : Entre le jour et la nuit, les collines d’un village en Israël. Le jeune Dekel tente de se remettre d’une séparation douloureuse. Dans l’imprécision d’un décor naturel baigné par la douceur de la lune, il croise son ami Doron dont les chaussures clignotantes diffusent une lumière visible à des kilomètres. Avec deux autres garçons, ils vont passer la nuit à discuter : parler le plus possible, comme une dernière tentative pour redonner vie à ce qu’ils partagent. Pour son premier film, Yotam Ben-David joue des échelles : les corps de Dekel, Doron, Udi et Rona sont filmés au plus près des sourires et des gestes de séductions esquissées, ou apparaissent lointain comme le tonnerre, petits phares lumineux à la recherche de camarades perdus de vue. Assis en cercle, les quatre jeunes hommes révèlent une composition plus secrète lorsque la caméra les capte séparément, mise en valeur de leurs hors-champ mental et des regards lancés dont on ne sait s’ils survivent à la sortie du cadre. Les boissons et le narguilé savourés portent des histoires de l’enfance et de l’âge adulte, des histoires de galère, de bagarre et de vie homosexuelle. Lorsqu’un instant les voix se taisent, les coyotes poussent leur complainte : dénonciation indirecte, la preuve que malgré le flot de paroles, quelque chose entre les garçons s’est bel et bien dissout. Lucide, Tonnerre sur mer ne s’avoue pas pour autant vaincu et continue encore un bref instant de souffler sur le tison du narguilé pour entretenir son feu. (Vincent Poli)

jesuisunchat

a attribué 7/10 au film

Tonnerre sur mer

2018 • Moyen-métrage de Yotam Ben-David

Synopsis : Entre le jour et la nuit, les collines d’un village en Israël. Le jeune Dekel tente de se remettre d’une séparation douloureuse. Dans l’imprécision d’un décor naturel baigné par la douceur de la lune, il croise son ami Doron dont les chaussures clignotantes diffusent une lumière visible à des kilomètres. Avec deux autres garçons, ils vont passer la nuit à discuter : parler le plus possible, comme une dernière tentative pour redonner vie à ce qu’ils partagent. Pour son premier film, Yotam Ben-David joue des échelles : les corps de Dekel, Doron, Udi et Rona sont filmés au plus près des sourires et des gestes de séductions esquissées, ou apparaissent lointain comme le tonnerre, petits phares lumineux à la recherche de camarades perdus de vue. Assis en cercle, les quatre jeunes hommes révèlent une composition plus secrète lorsque la caméra les capte séparément, mise en valeur de leurs hors-champ mental et des regards lancés dont on ne sait s’ils survivent à la sortie du cadre. Les boissons et le narguilé savourés portent des histoires de l’enfance et de l’âge adulte, des histoires de galère, de bagarre et de vie homosexuelle. Lorsqu’un instant les voix se taisent, les coyotes poussent leur complainte : dénonciation indirecte, la preuve que malgré le flot de paroles, quelque chose entre les garçons s’est bel et bien dissout. Lucide, Tonnerre sur mer ne s’avoue pas pour autant vaincu et continue encore un bref instant de souffler sur le tison du narguilé pour entretenir son feu. (Vincent Poli)

Pietr O'

a attribué 7/10 au film

Tonnerre sur mer

2018 • Moyen-métrage de Yotam Ben-David

Synopsis : Entre le jour et la nuit, les collines d’un village en Israël. Le jeune Dekel tente de se remettre d’une séparation douloureuse. Dans l’imprécision d’un décor naturel baigné par la douceur de la lune, il croise son ami Doron dont les chaussures clignotantes diffusent une lumière visible à des kilomètres. Avec deux autres garçons, ils vont passer la nuit à discuter : parler le plus possible, comme une dernière tentative pour redonner vie à ce qu’ils partagent. Pour son premier film, Yotam Ben-David joue des échelles : les corps de Dekel, Doron, Udi et Rona sont filmés au plus près des sourires et des gestes de séductions esquissées, ou apparaissent lointain comme le tonnerre, petits phares lumineux à la recherche de camarades perdus de vue. Assis en cercle, les quatre jeunes hommes révèlent une composition plus secrète lorsque la caméra les capte séparément, mise en valeur de leurs hors-champ mental et des regards lancés dont on ne sait s’ils survivent à la sortie du cadre. Les boissons et le narguilé savourés portent des histoires de l’enfance et de l’âge adulte, des histoires de galère, de bagarre et de vie homosexuelle. Lorsqu’un instant les voix se taisent, les coyotes poussent leur complainte : dénonciation indirecte, la preuve que malgré le flot de paroles, quelque chose entre les garçons s’est bel et bien dissout. Lucide, Tonnerre sur mer ne s’avoue pas pour autant vaincu et continue encore un bref instant de souffler sur le tison du narguilé pour entretenir son feu. (Vincent Poli)

Pietr O'

a attribué 8/10 au film

Tonnerre sur mer

2018 • Moyen-métrage de Yotam Ben-David

Synopsis : Entre le jour et la nuit, les collines d’un village en Israël. Le jeune Dekel tente de se remettre d’une séparation douloureuse. Dans l’imprécision d’un décor naturel baigné par la douceur de la lune, il croise son ami Doron dont les chaussures clignotantes diffusent une lumière visible à des kilomètres. Avec deux autres garçons, ils vont passer la nuit à discuter : parler le plus possible, comme une dernière tentative pour redonner vie à ce qu’ils partagent. Pour son premier film, Yotam Ben-David joue des échelles : les corps de Dekel, Doron, Udi et Rona sont filmés au plus près des sourires et des gestes de séductions esquissées, ou apparaissent lointain comme le tonnerre, petits phares lumineux à la recherche de camarades perdus de vue. Assis en cercle, les quatre jeunes hommes révèlent une composition plus secrète lorsque la caméra les capte séparément, mise en valeur de leurs hors-champ mental et des regards lancés dont on ne sait s’ils survivent à la sortie du cadre. Les boissons et le narguilé savourés portent des histoires de l’enfance et de l’âge adulte, des histoires de galère, de bagarre et de vie homosexuelle. Lorsqu’un instant les voix se taisent, les coyotes poussent leur complainte : dénonciation indirecte, la preuve que malgré le flot de paroles, quelque chose entre les garçons s’est bel et bien dissout. Lucide, Tonnerre sur mer ne s’avoue pas pour autant vaincu et continue encore un bref instant de souffler sur le tison du narguilé pour entretenir son feu. (Vincent Poli)