J'étais très curieux à la lecture du synopsis sur le contenu de ce film, sans à connaitre d'avantage sur le contexte et le réalisateur.
J'aurais pas cru prendre une tel claque pendant ces deux heures avec cette sensation de ne pas vouloir que cela se termines. J'ai complétement était transporté par l'esthétique porté par ces plans photographiques et ces paysages alpins. La force principale de film c'est cette expression de ne vouloir montrer que le beau, un peu à l'image de l'amitié des protagonistes qui ne partagent que le positif, et cela fonctionne. On se surprends à voir du beau dans ces corps qui ont subit le temps, avec cette jeunesse qui n'est jamais mis en opposition bien au contraire. Et à l'image des balades champêtres à lesquels on peut assister, on se laisser porter dans ce rythme lent comme si nous n'avions nous aussi plus rien à vivre, juste à capter ces instants. En se laissant porté, on n'est donc pas surpris par un Maradona bouffit ou un moine plus proche de Superman que du bouddhiste, en effet on acceptes.
Et à l'image de ces spectacles du soir sur cette scène tournante : le temps continues à tourner. On se poses donc la question de qu'est ce qui leur restes ? Une bonne santé, des souvenirs d'amitiés chaleureux, mais aussi des actes manquées, des décisions transformé aujourd'hui en regrets qui part la fatalité du temps qui passe ne leur laisse plus que la possibilité de constater les dégâts. En résumé l'image d'une vie.
C'est par ce sentiment d'acceptation contraint et par l'illustration de cette belle vieillesse que je trouves que ce film est en fin de compte : une ode à la vie. .