Deuxième chapitre d'Higurashi sur Steam et qui raconte une histoire "différente" : les protagonistes sont les mêmes, à la même époque de l'année, peu de temps avant le "festival de Watanagashi" mais les événements ne sont pas les même comme si l'on était dans un monde parralèle où les choses se sont passés de façon différentes....
.... ce qui n'empêchera pas l'histoire de se finir encore plus mal que la dernière fois.
Higurashi pourrait être un visual novel à choix où finalement il manquerait l'intro où le lecteur prend une décision qui changerait le scénario.
Cette fois-ci nous sommes dans une intrigue centré sur Mion et on fait la découverte de sa soeur jumelle, Shion (ça n'est pas une GROSSE révélation, celle-ci apparait au bout de la première heure de lecture) et où celle-ci joue un rôle bien plus prépondérant. Et même si le chapitre possède, comme la dernière fois, des grosses longueurs et des moments un peu "osef" il arrive plus vite au but, à la fameuse nuit du Watanagashi. En contrepartie, il est plus long et Keichi passe son temps à nouveau à se poser des questions redondantes ou à rabacher un truc qu'il nous avait déjà dit deux chapitres avant. Keichi est surtout TRES CON et dans ce chapitre certaines de ses réflexions et de ses actions m'ont fait me facepalmer à plus
Chose marrante, dans le premier chapitre celui-ci voyait Oishi-san comme un allié, comme "la seule personne qui peut me comprendre" et dans celui-ci Keichi trouve que c'est un gros con et passe son temps à l'envoyer chier.
Idem pour Rena qui passe de "folle dangereuse" à "best meuf" au cours de cette intrigue.
Du reste, on en apprend beaucoup plus dans cette histoire, notamment sur le background du village d'Hinamizawa tout en maintenant le mystère et le suspens à un très haut level. Ainsi que l'ignoble... vu que cette fois-ci, on commence à avoir des descriptions très glaçante et du pur sadisme.
En bref, on y gagne en réponse et en intrigue ce qu'on y perd en mystère. Ça reste quand même toujours un peu longuet. Bon, je prend une pause d'un mois et j'entame la suite.