2021 BD, mangas, comics

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Janvier.
Je n'ai pas vraiment aimé ... mais l'idée est extrêmement intéressante et son exploitation l'est tout autant.
Ce n'était pas vraiment une lecture que je qualifierai de plaisante, mais qui par son jeu avec ce qu'est le médium de la bande dessinée s'avère utile, voire nécessaire (au vu de ma manière de consommer et réfléchir le médium en tout cas).

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Janvier (tome 2).
J'ai enfin pris le temps de finir Le Club des Divorcés. C'est à unique, le premier manga de Kamimura que je lis, une expérience à part, récit d'un quotidien sur fond tragique. Un réel jeu dans la composition des pages, des planches, dans les angles de représentation choisis, la répétition, etc.
Une réussite par la manière dont le tout sonne vrai, par les personnages, leurs choix, leurs doutes leurs incompréhensions, ou encore les relations complexes qui les unies.
Une réelle justesse, tant graphique que narrative, par un dessin précis et reconnaissable au premier coup d’œil, une composition de l'image toujours crédible, réfléchie, servant la narration.
Un grand manga, il me tarde d'en lire plus de cet auteur.

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Janvier (lu entre le 31 décembre et le 1er janvier).
J'adore le travail de Furuya, Palepoli ne déroge pas à la règle. On retrouve l'aspect grotesque de certains de ses mangas, mais ici exacerbé. Certains gags ne passent malheureusement pas, c'est notamment le cas de ceux basés sur la succession de mots japonais, impossible à transcrire correctement en français. Le manga revêt un côté quasi expérimental qui ne me déplait aucunement. Le fait que Furuya soit l'auteur de ce manga joue certainement, mais il y a un véritable truc, sur lequel je n'arrive pas vraiment à mettre des mots, qui rend ce manga unique en son genre. Typiquement le genre de production qui m'intéresse dans le médium. J'ai beaucoup aimé, mais difficile de le recommander à un lecteur ne connaissant pas l'auteur.

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Janvier.
J'ai enchainé les quatre tomes, et j'en ressors assez partagé.
Difficile de cerner la volonté des auteurs, tant le ton oscille entre les chapitres. Démarrant plus ou moins comme Mazinger Z, pour s'en écarter radicalement, par ses antihéros, son univers quasi post-apocalyptique ... pourtant ses méchants caricaturaux l'amènent à se rapprocher de Mazinger.
A ne pas réellement savoir se départager entre manga pour la famille ou pour un lectorat plus âgé, la lecture de certains chapitres peut s'avérer ... peut être pas pénible ... mais peut intéressante. Alors que d'autres au contraire, son assez poignant. Le final est par ailleurs une véritable réussite, ne laissant pas un goût amer au sortir de la lecture.
Niveau dessin, c'est aussi partagé. A la manière de Go Nagai, il y a de belles planches, les robots sont soignés et toujours plaisant à l’œil ... mais pour ce qui est des corps humains ... c'est ... bizarre. Les proportions n'ont par moment aucun sens (ce qui s'avère assez gênant sur certaines planches),et les designs sont malheureusement exactement les mêmes (ou presque) que ceux qu'on retrouve dans les autres mangas du papa de Devilman (j'avais pas envie de me répéter ... mais c'est vraiment un surnom pourri).
En bref, du bon et du mauvais, je vais essayer de lire les suites, à commencer par Getter Robot G, puis Getter Robot G, qui est certainement le manga de la licence le plus apprécié (d'après ce que j'ai pu lire sur internet en tout cas).

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Janvier.
Relecture.
J'en avais un assez mauvais souvenir après ma lecture il y a 4 ans (ça doit être ça ...), à vrai dire, je n'en avais presque aucun souvenir (en dehors d'une préface de Moebius ... pourquoi retenir ça ? En plus j'étais persuadé que c'était lui le scénariste du coup).
En tout cas, c'est du Suehiro Maruo, c'est donc à part, érotique, gore et grotesque (éro guro oblige). Certaines histoires sont vraiment sales.
Pas forcément un manga qu'il est réellement possible de recommander à des non connaisseurs du monsieur (et en même temps, c'est ma première lecture de cet auteur ... mais bon comme dit, je n'en ai pas gardé un souvenir indélébile).

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Janvier.
Lecture sympathique. Pas le meilleur manga de Taniguchi, mais la colorisation et la bienveillance avec laquelle l'histoire nous est contée rend le tout très agréable à parcourir. Pas indispensable, mais ça reste un manga réussi. A lire pour les fans du monsieur et ceux intéressé par le point de vue d'un japonais sur le Louvre.

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Janvier.
C'est raté.
C'est très mauvais en tant que bande dessinée (en tant que manga dans ce cas). Pourtant, il y a de bonnes idées, autour de l'univers et l'envie de le développer notamment. Mais réduire le tout à 3/4 chapitres, proposer un découpage répété en ne rendant jamais l'action claire (pour les combats en tout cas), devoir lire de courts textes (plus longs que l'intégralité du contenu de la planche) en bas d'une page sur trois démontre une très mauvaise utilisation du médium pour ce qu'il est.
Les scènes d'actions sont donc mauvaises. Le scénario ... n'est pas développé suffisamment pour que quoi ce soit ne fonctionne.
Puis la 3D utilisée pour les "méchas" ... c'est vraiment très moche et surtout, ça ne s'intègre pas bien à l'ensemble.
Sous la forme d'un roman ou d'un anime, ça aurait certainement pu donner un résultat sympathique, mais là c'est clairement un raté.

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Janvier (tomes 1, 2 et 3 lus début décembre 2020).
C'était vraiment bien.
Le trait de l'auteur apporte vraiment quelque chose, donnant l'impression d'un investissement énorme dans son œuvre. Parfois il y a des dialogues faussement profonds. Mais en même temps, à d'autres moments, sans texte ou presque, lors de phases où l'on pourrait dire qu'il "brasse du vide", ou bien qu'il "ne cherche qu'à faire du beau", il transmet bien plus.
En tout cas, c'était magnifique, pas une réussite sur le plan purement formel, mais dépassant totalement ce genre de détail pour proposer un ensemble qui m'a semblé unique.
Je ne pense pas qu'un autre manga de l'auteur puisse être aussi fort.
C'est un peu compliqué de le recommander vu le prix à dépenser en occasion pour obtenir les différents tomes, mais si vous avez l'occasion (via une médiathèque ou autre) de le lire, allez y les yeux fermés.
Quitte à rester très extérieur et ne pas aimer. Je pense qu'il s'agit dans tous les cas d'une expérience de lecture intéressante.
Puis bon, l'auteur arrive à donner envie de s'intéresser à la mer, et les différentes croyances qui l'accompagne, les représentations qui lui sont liées, etc. c'est pas donné à tout le monde.
(Apparemment le film est bien, donc c'est peut être une bonne alternative)

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Janvier.
Lu d'une traite. De loin le meilleur manhwa que j'ai eu l'occasion de lire. D'une grande violence et tristesse. Un univers volontairement peu compréhensible (et encore, on comprend bien les idées qui s'en dégagent, pas besoin de plus), aussi bien pour les personnages que pour les lecteurs. Un trait assez simpliste, qui semble être un choix avant tout volontaire, comme provenant de la "pureté" du regard enfantin sur le monde. Le contraste avec certaines planches, au style radicalement différent, impacte d'autant plus.
J'ai été réellement ému par The Horizon, et le recommande fortement, particulièrement à ceux réticents au manhwa.

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Janvier (tome 1 lu à sa sortie, mais relu pour l'occasion).
Aie aie aie ... je viens de lire les 10 tomes d'un coup.
Scénaristiquement le moins intéressant des mangas de Oshimi, pour le dessin c'est tout autre. Bien plus proche de son manga Les liens du sang, de ce point du vue, on retrouve un réel parti pris graphique, mariant la "simplicité" du dessin de Oshimi avec certaines excentricités, pour un rendu d'une très forte intensité (un peu comme pour Les liens du sang de ce point de vue).
Comme d'habitude avec l'auteur, difficile de décrocher. C'est de manière certaine moins bon que Dans l'intimité de Marie, mais je pense préférer Happiness.
Puis bon, ça doit être le premier manga de vampires que je lis ... ça va certainement être difficile de passer derrière.

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Janvier (lecture des tomes 13 à 16).
Mob Psycho c'est vachement bien, c'est même certainement meilleur que One Punch Man (en anime comme en manga), un dessin tout moche mais qui fonctionne toujours, un découpage efficace, et surtout une trame trop méga trop sympa, qu'on veut tous que Mob il soit heureux, et qu'au final, ben c'était vachement bien de bout en bout ! (j'espère que ce commentaire parfaitement construit vous aura plus).

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Janvier.
Genre de roman photo SF et surtout très beauf par l'auteur de Cobra (que je n'ai toujours pas lu ...).
Tout n'est pas à jeter, mais le concept même d'associer une 3D qui a aujourd'hui vraiment vieillie à des photos d'un modèle/d'une actrice dans un univers "sombre et violent" (c'est ce que ça semble être ...) n'était pas forcément des plus judicieux.
Le découpage est pourtant assez efficace, on sent bien que Terasawa est un bon mangaka et qu'il maitrise son art. Le scénario un peu concon (très con en fait) se laisse suivre, même si rien ne va jamais vraiment.
J'imagine qu'on peut parler de manga expérimental, ici certainement pour le pire.
J'ai lu ça par hasard en scan, mais il me semble que c'est édité en France chez ISAN ... à réserver aux grands fans de l'auteur ... ou aux gens particulièrement curieux j'imagine.

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Janvier.
Curieux après l'annonce de A Brief History of Robosapien par l'éditeur Noeve, j'ai voulu voir ce que l'auteur a pu faire d'autre.
Je suis donc tombé sur 9-Gatsu 10-Gatsu (dont j'ai du créer la fiche sur SC), que j'ai mis de côté, puis que j'ai fini par lire cette nuit.
C'est très joli, le minimalisme du trait accentué par les contrastes appuyés, excluant toute teinte de gris (hors blanc et noir bien entendu), fonctionne très bien, même si ça risque de laisser certains sur la touche.
C'est véritablement contemplatif, très peu bavard, s'exprimant le moins possible par le texte. Beaucoup de décor, de cases vides ou presque, mais qui possèdent pourtant un véritable charme, amené par cette ambiance qu'instaure l'auteur.
Ça se lit très vite, peut être trop vite. A recommander essentiellement aux amateurs de mangas contemplatifs, au trait particulier, mais unique.
J'ai en tout cas encore plus hâte de pouvoir lire A Brief History of Robosapien, dans lequel je fonde maintenant beaucoup d'espoirs (de la SF dans ce style là ? ça promet).

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Janvier (dans l'Anthologie Moto Hagio éditée chez Glénat).
Courte histoire tout en couleur (à la palette limitée, mais plutôt agréable à l’œil), mêlant science fiction, onirisme et romance. Une réussite.

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Janvier (dans l'Anthologie Moto Hagio éditée chez Glénat).

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Janvier.
Ensemble d'histoires courtes liées par leur personnage principal, une jeune fille sympathique et mignonne, se trouvant confrontées à différents évènements surnaturels et paranormaux. C'est efficace, Ito joue toujours sur certaines peurs communes et arrive à proposer des idées graphiques intéressantes.

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Janvier.
Premier manga lu au complet de l'auteur de Baki. On retrouve son style unique, excessif dans son dessin, à l'anatomie absurde et aux mouvements très (trop ?) dynamiques.
Pas désagréable à lire, c'est cependant très oubliable. Toujours pas convaincu par le travail de ce scénariste (Garoden, dessiné par Taniguchi, n'est vraiment pas sensationnel), j'espère que son Garoden avec Itakagi, et que le Sommet des Dieux arriverons à me convaincre de manière "totale" (et non pas partielle comme dans ce cas).

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Janvier.
Sympathique mais très oubliable. J'ai lu ça en à peu prêt 7/8 minutes (voire moins) ... ça me parait vraiment très court.
Histoire amusante, dans la veine des autres Donjon Parade, ce qui est plutôt plaisant. La plus grande réussite est certainement le dessin, à la fois proche et éloigné de l'original, apportant une vrai personnalité et une plus grande précision.
A réserver aux fans (genre moi) de Donjon.

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Janvier.
Pas la meilleure histoire de Spirou et Fantasio que j'ai lu, mais il y a un truc. J'apprécie le ton sérieux de l'histoire, ce ton que n'avait pas (pour le meilleur et pour le pire) Spirou chez les Soviets, et qui me convient plus (en tout cas pour ces histoires par d'autres auteurs).
Le dessin, associé aux couleurs, la simplicité apparente de l'habillage, permet à l'auteur de créer une atmosphère autour de cet hôtel, vide mais parfaitement entretenu.
L'histoire, elle, tient la route, et semble même assez crédible, en tout cas suffisamment pour que la lecture ne soit ni embêtante, ni déplaisante.

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Janvier (tome 1 lu en décembre 2020).
La vie d'un excentrique conté d'une manière qui l'est tout autant. Pas toujours facile à lire, pour son abondance d'informations, principalement pour les parties avant tout historiques. Le récit du quotidien de Shigeru Mizuki est assez fascinant.
Pas forcément recommandable à tous, notamment à cause de son abondance d'informations historiques, et simplement par ce qu'il raconte, ça reste un manga profondément intéressant à lire.

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Janvier.
Courte histoire qui démarrais plutôt mal, mais qui prend une tournure plutôt intéressante. Jamais passionnant, mais suffisamment court pour ne pas avoir de vrai problèmes de rythme

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Janvier.
Lecture des Nuits 13 à 20.
Rarement de la Science Fiction en manga ne m'a paru si ambitieuse. Ici pour le meilleur. Le trait se voulant réaliste et assez froid de Yukinobu Hoshino fonctionne à merveille, décrivant parfaitement cet Espace, désertique, d'un noir profond, quasi désespérant pour l'Homme.
Lire un récit de "Hard" science-fiction m'aura en tout cas vraiment fait plaisir. Je n'ai pas vraiment l'envie de m'attarder sur l'histoire, mais elle est assez passionnante et mérite clairement le temps du lecteur. Certaines Nuits (nom donné aux chapitres) sont véritablement magistrales. Ça pose beaucoup de questions, qui mériteraient véritablement d'être approfondies.
Mais en bref, lisez 2001 Nights Stories, en scan (comme moi) si vous n'êtes pas riche, ou en physique si vous l'êtes (si vous avez 400 euros à débourser spécialement pour ça).

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Janvier.
Tomes 8 à 18 (tomes 1 à 7 lu durant l'été 2020).
Bakuon Retto, récit d'une jeunesse vrombissante et rêveuse, au ton variant entre tragique et comique, mais toujours sérieusement. Au trait si particulier, planches superbes, une transcription audible de ces motos dans la nuit. Une ambiance unique, pas forcément de "racailles au grand coeur", mais plutôt d'un groupe avant tout humain, amis, dans la stimulation permanente, capable de tout, du meilleur comme du pire. Prenant de bout en bout, semblant presque s'épuiser, que l'on imagine comme allant vers un tragique inévitable, quasi lassant, pour finalement s'en délier, questionner et partir plus loin. Questionnements d'une jeunesse, finalement transcriptible chez tous ou presque. Bakuon Retto fait vrai et c'est certainement pour ça que c'était si bien. (court texte écrit pour un discord)

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Janvier (tomes 1 à 3 lus fin 2019).
Série "courte" (pas tant que ça) sympathique, il est rare de voir l'ambiance romaine en manga. L'ajout de fantasy m'a semblé surprenant au départ, mais passe en fait plutôt bien. Un scénario un peu simpliste (et qui répète beaucoup la même boucle) mais plaisant. Pour les dessins, je ne suis pas forcément fan du style de Kakizaki, mais ça passe vraiment bien dans ce contexte.

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Janvier.
Full Drive est une série annulée, difficile de dire que le potentiel était vraiment là tant tout partait de manière commune. "Commun" c'est un bon qualificatif pour désigner le manga, il est simplement un peu triste de le voir être si court. L'auteur ne semble même pas avoir eu droit de développer son "match final", même si le message est passé, il reste un peu décevant de ne pas le voir sur le papier. Je ne pense pas que Full Drive soit un "bon" manga, cependant sa moyenne me parait particulièrement sévère (surtout en comparaison de certains titres plus que moyens, valant largement ce manga). Je suis assez client des mangas de sport, entrant facilement dedans, celui-ci ne déroge pas vraiment à la règle, le parcourir aura été une expérience agréable.

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Janvier
Emprunté à la médiathèque parce que je voulais lire un peu ce qu'à fait l'auteur. C'est assez absurde et bizarre, mais j'aime bien. Les deux histoires plus longues en particulier, que j'ai trouvé vraiment sympa. L'aspect satyrique rend la "digestion" facile. Puis le style graphique de Charles Burns, un peu figé par moment, n'usant pas des teintes de gris en se concentrant exclusivement sur du noir et du blanc est vraiment superbe. Faudra que j’emprunte d'autres oeuvres de l'auteur à la médiathèque (et que j'achète Black Holes parce qu'ils ne l'ont pas *snif*)

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Janvier.
Emprunté un peu par hasard à la médiathèque (la BD était mise en avant). C'était pas mal, je trouve les dessins plutôt sympa, le concept est plutôt intéressant (un peu dans une idée semblable à Ready Player One, mais de manière intéressante au sein d'une œuvre de fiction ... parce que bon l'univers de Ready Player One, autant si on avait ça via quelconque support VR (avancé) ça serait cool, mais dans un film ... c'est d'un intérêt bien plus limité). Traiter des aspects plus économiques liés au jeu est une bonne idée et lui donner un aspect "scientifique" aussi (ça rend l'univers plus crédible en tout cas). Reste que je ne trouve pas ça très bien écrit, j'ai surtout peu que ça prenne une direction trop action ou déjà vu (dans un sens plutôt négatif).

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Janvier 2020
Mon expérience avec Iron Man se limite aux films du MCU. J'étais assez curieux vis-à-vis de cette histoire, ayant trouvé Superior Spider-Man réussi (ce que j'en ai lu en tout cas).
Ce tome 1 était pas mal, il y a de bonnes idées, ce n'est pas très beau, c'est même assez moche par moments. Mais c'était plutôt sympa.

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Février.
Suite et fin de ce Superior Iron Man, c'était très attendu dans le développement scénaristique et vraiment pas très beau (surtout certains visages véritablement hideux). Les combats ne m'ont paru ni bons ni mauvais (il n'y en a pas beaucoup, mais c'est loin d'être un défaut).
Ça manque de finesse tant pour le dessin que pour le scénario. Le dernier numéro était pas bien, mais la conclusion (les 2 dernières pages) n'est pas inintéressante. Globalement, c'était plutôt décevant, pas bon, mais pas non plus mauvais (en tout cas pour un non connaisseur dans mon genre). Je pense que c'est assez oubliable ... (Superior Spider-Man c'était mieux)

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Février.
Relecture (parce que j'ai acheté et reçu les 4 tomes).