2025 dans les salles obscures feat. Gérardmer

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Bonne surprise que ce film. J'avais détesté American Honey, notamment pour son "couple" principal, que je trouvais écervelé, stupide et jamais attachant, mais ici, c'est tout l'inverse, les personnages m'ont plu et ce mélange entre film nerveux et très ancré dans le réel, et conte fantastique, marche très bien. Je me suis tout de même un peu ennuyé à certains moments, mais hormis cela, c'était un bon moment qui me réconcilie avec Andrea Arnold.

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Film étrange, très froid, qui se rapprocherait d'un film d'anticipation anxiogène s'il n'était pas inspiré de faits réels. Le visionnage n'est pas agréable, la froideur générale, l'aseptisation extrême, les décors épurés au possible, les visages figés dans des sourires eux-mêmes sans chaleur... Le tout fusionne avec l'absurdité sordide de la situation (par exemple l'autorisation de rester plus longtemps sur le territoire car l'enfant est tombé dans le coma... parce qu'on lui a refusé le droit de rester sur le territoire...). Fort heureusement, au plus profond que plonge cette famille, elle trouve les ressources pour se reconnecter et reprendre espoir. C'est dans leur logement le plus miteux que leur vie est la plus chaleureuse. Ce n'est pas en observant une forêt verdoyante servant de décors à un établissement froid et désincarné; mais au pied d'un arbre solitaire au fond d'un parking sale que la poésie et la chaleur se trouve. Cette chaleur, cette poésie, cette reconnexion, c'est ici que se trouve le salut de l'âme.

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Une œuvre marquante, de part sa rudesse, sa violence, ses thématiques adultes, mais qui parvient à éviter le trop plein de pathos (sur un fil, la frontière avec le trop plein est toujours ténue). La résilience de Grace est remarquable et, si le film peut souffrir d'un côté un peu long et répétitif par moment, son contenu riche, et son univers visuel magnifique passent largement devant ses défauts

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Là, je ne peux que me résoudre face à l'évidence : le cinéma de Leigh Whannel m'ennuie profondément, et ce Wolf Man ne viendra pas relever le niveau. Fade, convenu, ennuyeux... même le design des créatures est à cette image.

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Biopic immersif, et, au-delà de toutes les réflexions très actuelles que son visionnage m'a provoqué (la montée de l'extrême-droite dans le monde me laisse craindre de connaitre ce genre de régime), il navigue parfaitement entre le drame intimiste, et le film politique. La question de la mémoire constitue le liant entre ces deux facettes. J'ai beaucoup aimé, au delà de ses qualités, la lumière, et la bande-son.

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Gerardmer jour 1. Film d'ouverture. Ce Companion avait titillé ma curiosité à la vue de sa bande-annonce, et il ne m'aura pas déçu. Il est très divertissant, porté par une galerie de personnages suffisamment marrants à suivre et qui permettent de soulever les questionnements du film vis à vis de l'intelligence artificielle, du couple et de la masculinité toxique entre autres. Iris est un personnage attachant à travers sa quête d'émancipation. Je reprocherai toutefois au film de trainer un peu par moment sur la fin, mais il reste tout à fait recommandable.

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Gerardmer jour 2. S'il a vieilli par certains effets sonores ou de montage, son ambiance marche encore parfaitement, inquiétant et malsain. Les décors sont également superbes et participent à cette ambiance. Tout comme les personnages intrigants et moralement ambigus.

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Gerardmer jour 2. Film assez indescriptible, probablement le résultat d'un trip sous acides ou autre drogue. Son côté extrêmement loufoque permet de le rendre curieux à regarder de prime abord, mais je l'ai trouvé indigeste et inintéressant.

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Gerardmer J2. On se retrouve face à un film pas horriblement nul, mais horriblement convenu, avec un twist cramé dès le début du film, et lardé de jumpscares nuls. L'ambiance métro n'est pas suffisamment exploitée. Aurait pu être plus sympa.

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Gerardmer jour 2. J'ai eu très peur de vivre un moment long et douloureux, mais j'ai curieusement été plutôt embarqué dans l'ambiance étrange de ce slasher contemplatif, qui, s'il reste trop long, propose quelques mises à morts généreuses et un humour noir discret mais efficace. Les bribes de discussions des victimes de ce tueur implacable, acharné et brutal laissent s'imaginer les étapes du film s'il avait été tourné de leur point de vue, ce qui est marrant également.

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Gerardmer, jour 3. Une des bonnes sorties récentes que j'ai pris plaisir à revoir, pour bien commencer cette troisième journée.

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Gerardmer, jour 3. Etrange péloche que ce Rumours. Je m'attendais à tomber sur un film gentillet, calibré et sans surprises, et au final, il s'est avéré surprenant, proposant une satire méchante (qui aurait pu pousser plus loin encore), drôle et généreuse, bien que bordélique et inégale.

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Gerardmer, jour 3. Belle surprise. Un survival rythmé et violent, se déroulant dans un monde post-apocalyptique oppressant, ou une femme essaye d'échapper à une secte religieuse énervée. Le film est porté par une ambiance sonore impeccable, des plans soignés, une esthétique sombre, des créatures inquiétantes et un parti pris sans dialogue réussi.

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Gerardmer, jour 3. Un début intriguant, mais une fois que l'évènement principal se déclenche, tout le reste s'avère très prévisible. Heureusement, le film se laisse malgré tout voir grâce à ses acteurs et à une ambiance générale plutôt réussie.

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Gerardmer, jour 3. Une nuit dédiée à la trilogie X, c'était une très bonne idée, car les trois films sont bons, et se prêtent très bien à un visionnage nocturne.

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Gerardmer, jour 3. Une nuit dédiée à la trilogie X, c'était une très bonne idée, car les trois films sont bons, et se prêtent très bien à un visionnage nocturne.

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Gerardmer, jour 3. Une nuit dédiée à la trilogie X, c'était une très bonne idée, car les trois films sont bons, et se prêtent très bien à un visionnage nocturne.

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Gerardmer, jour 4. Film d'ambiance, très prenant avec ce concept de malédiction transmissible dans un esprit très It Follows, qui sert le discours féministe. Chaque partie est convaincante, et les moments horrifiques sont très réussis. Il faut toutefois s'accrocher à son rythme, petit point faible parfois.

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Gerardmer, jour 4. Il va forcément souffrir de la comparaison avec The Substance vu ses thématiques, car moins maitrisé, moins accrocheur. Se regarde toutefois sans trop de déplaisir, si l'on passe outre son manque de crédibilité, ses incohérences et ses personnages bien cons.

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Gerardmer, jour 4. Pour le moment mon coup de cœur du festival, avec son ambiance super, ses effets horrifiques excellents, et quelques scènes marquantes. Le film est généreux, partant dans plein de directions, mais réussit à traiter son sujet en maintenant notre curiosité constamment éveillée.

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Gerardmer, jour 4. Documentaire inégal, dépendant de l'accroche que l'on a pour les analyses des divers intervenants. Mention spéciale pour celle de Takashi Miike, celle qui m'a le plus intéressé.

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Gerardmer, jour 4. Premier film de la nuit décalée, que j'ai tout simplement détesté. J'en ai profité pour rattraper un peu de ma nuit de 2h45 de sommeil.

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Gerardmer, jour 4. En attendant que la fiche du Deviant existe. Une film fade, pas vraiment drôle, ni vraiment intéressant.

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Gerardmer, jour 5. Déjà vu au FFCP en fin d'année dernière, mais j'avais complètement accroché, ce fut donc un plaisir de le revoir.

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Gerardmer, jour 5. Le film démarre sous les meilleures auspices avec des petites joutes verbales bien ciselées et des personnages bien puants. J'ai été plus sceptique vis à vis de la suite qui, sans être complètement mauvaise, me semblait manquer de sel et être trop répétitive.

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Gerardmer, jour 5. J'attendais celui-ci avec impatience, mais je ne suis pas rentré dans son ambiance. Un goût de trop peu dans les interactions, pas tout le temps immergé en temps que fantôme par la caméra, et une histoire qui, si elle n'est pas inintéressante en soit, ne m'a pas marqué par son traitement, notamment la fin avec le méchant très méchant qui explique comme il est méchant.

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Gerardmer, jour 5. Une déception frustrante car l'histoire pourrait se suivre gentiment si le film n'était pas porté par un casting épouvantable. Même les acteurs adultes, habituellement plus convaincants, sont ici aux fraises.

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Belle petite découverte. L'histoire est bien traitée, dans l'ensemble bien rythmée, même si il y a un petit flottement après une scène importante. La réussite du film tient notamment à ses personnages, dans l'ensemble bien interprétés (mention pour Sayyid El Alami).

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Il manquait un je ne sais quoi au film pour m'emporter complètement. Malgré tout, la solitude de ces personnes est bien retranscrites, tout comme leur envie de vivre, presque honteuse, car après tout, pour qui ? Malgré un rythme parfois assommant, je trouve les deux personnages attachants, plutôt bien interprétés, on ressent leur détresse, et leur flamme retrouvée pour ce moment figé dans le temps, qui devrait être anodin et ne braver aucun interdit. Et c'est déjà une bonne partie du film qui s'en trouve réussie.