9 films pour célébrer Pâques

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Le plus fantaisiste. Cinq enfants découvrent la mystérieuse chocolaterie de Willy Wonka. Des épreuves les y attendent. Cette première adaptation du chef-d'œuvre de Roald Dahl offre une comédie musicale haute en couleur, avec un Gene Wilder délicieusement espiègle.

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Le plus angoissant. Dans Alien comme dans ses suites, ce n'est pas celui qui trouve l'oeuf qui chasse... Tout a été dit sur ce monument du cinéma, de son atmosphère claustrophobique à sa tension sexuelle oppressante. Le mieux reste d’en faire l’expérience, en conditions.

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Le plus irrévérencieux. Brian Cohen, un juif vivant à Nazareth à l'époque de Jésus, se retrouve dans des situations qui le font passer pour le Messie. Les Monthy Python offre la parodie ultime des superproductions bibliques et autres péplums hollywoodiens. Un régal !

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Le plus ambivalent. En adaptant le classique de Victor Hugo, Disney accouche d’une œuvre flamboyante qui souffre de trop nombreuses ruptures de tons (les gargouilles). Une fable sur l’acceptation et la tolérance, avec des personnages à la noirceur insoupçonnée.

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Le plus schizophrénique. Dans une petite banlieue pavillonnaire, un adolescent troublé reçoit la visite d'un lapin géant qui annonce la fin du monde. Richard Kelly signe un film unique en son genre : oppressant, onirique et profondément mélancolique. Un film culte pour toute une génération (la mienne).

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Le plus référencé. Devenu chasseurs de lapins, le célèbre duo est confronté à un lapin-garou qui sème la terreur dans leur village. Jamais à court d'idées, le studio Aardman nous livre une pépite d’animation qui cultive les gags et les clins d’œil au cinéma. Du bonheur absolu !

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Le plus chocolaté. Deux émotifs compulsifs se rapprochent grâce à leur passion commune pour le chocolat. Isabelle Carré et Benoît Poelvoorde sont les plus beaux atouts de cette comédie romantique qui ne manque ni de charme ni d'émotions. Un joli moment !

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Le plus déroutant. Un couple de fermiers islandais découvre et adopte un enfant hybride mi-humain mi-agneau. Une histoire étrange empreinte de fantastique, dans la plus pure tradition du conte populaire, magnifiée par l’atmosphère envoutante de l’Islande.

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Le plus déconstruit. Dix-huit ans après la fin de la trilogie, Lana Wachowski ressuscite son univers pour mieux le déconstruire. Une suite rejetée par une bonne partie de son public. Et pour cause, puisqu’elle dynamite toutes nos attentes, entre récit ultra-méta et désiconisation totale. Un grand blockbuster incompris !