Films vus et revus en 2017

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Vu pour Kevin Bacon. Un visionnage pas foncièrement désagréable mais qui laisse au final peu de trace. Une sorte de "Délivrance" familial, où les rednecks ont été remplacés par des petits braqueurs. Mouais.

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Une des versions pelliculées les plus estimées sur le sujet. Pas putassier pour deux sous. Le classicisme de la réalisation illustre bien le sujet (mieux que n'avait pu le faire "From Hell", qui illustrait la même thèse sur l'identité du Ripper). Michael Caine est parfait et Armand Assante livre une prestation assez surprenante.

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Un bon Sidney Lumet sur les arcanes du pouvoir politico-judiciaire et les magouilles se déroulant en coulisses. Les acteurs sont très bons. Plaisant à suivre.

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Brigitte Bardot fait l'allumeuse naïve pendant 95 minutes. Un concept assez limité. Seuls quelques beaux plans ou compositions de cadres viennent nous sortir de notre torpeur.

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Intrigant dans sa forme et son rythme. Souvent chiant quand même, on va pas se mentir. Le manque de moyens handicape pas mal le film. Une curiosité pour voir les débuts de Jeremy Renner.

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Film de Blaxploitation improbable voyant des Afro-américains s'organiser en milice pour défendre leurs proches des agressions perpétrées par les blancs. Le groupe para-militaire glisse finalement dans le totalitarisme à mesure qu'il s'organise en réseau criminel. Une curiosité avec un sympathique premier tiers (quand les Afros se vengent des blancs et notamment des membres d'un réseau mafieux). Par contre le soufflé retombe lourdement dans la seconde moitié où le film n'a plus grand chose à raconter.

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J'étais super content d'avoir mis la main dessus mais j'ai finalement été vite calmé par la pauvreté de la réalisation (c'est un téléfilm, la caméra bouge peu) et la maigreur du scénar. Quelques attaques de la créature sont quand même bien bourrine, ce qui enlève tout effet d'empathie qu'on aurait pu avoir pour le monstre, comme c'est souvent le cas dans les adaptations du roman. Une curiosité dispensable.

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Petit film culte et mètre étalon et matière d'inquisition au cinéma, ça m'a bien plu. Il vaut autant pour ses séquences de supplice que pour sa charge virulente contre l'Eglise et plus largement le pouvoir. Bien meilleur que "Le grand inquisiteur".

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Je voulais le voir depuis longtemps celui-là, pour être tombé sous le charme de sa BO il y a 2 ans. Quelques bonnes idées, un semblant d'ambiance, mais l'histoire est trop brouillonne pour soutenir l'attention (et la tension) d'un bout à l'autre du métrage.

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Un pitch pas mauvais en soit mais une réalisation souvent à la ramasse et un paquet de plans moches. Plusieurs acteurs sont à baffer.

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Pas terrible mais quelques idées barrées font patienter jusqu'au générique de fin. Mention spéciale pour l'homme pizza et le nain mafieux qui régurgite une sorte de bouillie toxique.

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Une mère et son fils passent en Allemagne de l'Ouest dans les années 1970. L'actrice principale est hyper charismatique mais il ne s'y passe pas grand chose de marquant.

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Un kaiju eiga assez miteux et souvent chiant. Se regarde distraitement.

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On me l'a un peu survendu celui-là. Pas vraiment provocateur, le film se contente d'enfoncer des portes ouvertes. La prestation d'Olivier Gourmet vaut vite-fait le coup d'œil, même si il est loin d'être convaincant de bout en bout.