Les 12 travaux bis de drélium

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"Foncez, foncez ! C'est joyeux, rythmé et même effréné !"

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"un vrai Cat III amoral, pourtant jamais catégorisé comme tel et on se demande bien pourquoi d'ailleurs, à l'esprit notoirement tordu qui garde un certain et ardu équilibre entre les scènes hystériques teintées de gore cheap et le thriller d'enfants méchants plus psychologique et posé, et pas mal envahissant aussi."

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"de la surprise, du panache fauché, de l'inutile sans honte, du superflu fruité et ce quelque chose de si tendre au milieu qui fait que ça ne s'arrête jamais, que rien n'est normal et que c'est bien comme ça."

"comme une signature hongkongaise qui voudrait qu'il n'y ait aucun besoin de raconter quelque chose de sensé si on a l'art d'enchaîner les situations indescriptibles."

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"ça n'a l'air de rien mais le rythme tient la route, l'action est régulière, l'exploitation fournie en humour cynique et le directeur de la prison est interprété par un William Ho au sommet de sa forme, donc quelque part Thunder run, c'est un peu du bonheur quand même."

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"Comment peut-on aller aussi loin dans la fange du divertissement tout en gardant cette surprise indéfinissable de la scène jamais vue avant ? "

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"ça fuse tellement dans tous les sens et c'est tellement inrésumable et indéfendable que quelque part, oui là bas tout au fond, c'est un peu unique."

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"Drôle d'époque que celle des Cat III début 90's, âge d'or du sans limite."
""Même les fighters estimables passent par la case érotique en ces temps troubles. "

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"Tandis que Nat Chan et Charlie Cho parviennent à faire sourire d'être aussi bêtes, Shing Fui-On encore fringant se ballade en chasseur de démons, les lunettes d'Invasion Los Angeles pour pister sa proie sur le nez, le brushing d'Elvis, la moustache de Magnum et l'épée de Musclor au côté, plumes, carquois et Perfecto sur le dos"

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"le plus grand roi des connards jamais filmé, William Ho au sommet du mont hystérie"
"William Ho gagne sa place dans le tiercé des méchants cinglés de la Cat III,"

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"le réalisateur Peter Ngor de tenter une ambiance abstraite assez particulière sous sa tonne de nullité insurmontable, qui mènerait presque l'oeuvre vers une sorte d'happening démoniaque surréaliste avec touche de décors AB Prod... "

"il reste des scènes que vous ne verrez jamais ailleurs encore une fois, et mine de rien je l'ai mangé en entier sans accélérer, et ça c'est plutôt rare dans la catégorie"

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"je crois que c'est la mort d'un héros la plus ridicule que j'ai pu voir au cinéma. Ce n'est pas rien."

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"Est à Red to kill ce que Téléchat est au Village dans les nuages..."

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"Explosions bien balèzes, infiltration Splinter Cell, gunfight hécatombesque entre légionnaires, on pourrait aussi surnommer ce final le « je pète des vitres ». J’ai rarement vu autant de vitres pétées."