Vu en 2020

Annotation :

Bien trop clean, bien trop lisse, même le quartier pourri ne semble pas si pourri. Comment en 2019 on peut encore sortir des poncifs tels que "tout ce que les gens ont pour s'en sortir ici, c'est croire en leurs rêves" ow même Disney a passé ce cap-là depuis un moment... Heureusement le personnage d'Alita (Rosa Salazar devient une véritable révélation) reste globalement convainquant.

Annotation :

Western nihiliste sur la rédemption et le pardon plutôt bien fichu, franchement joli.

Annotation :

D'aucun ne parlerons de "vent de fraicheur sur la comédie", de "cinéma authentique". Certes on rigole un peu, on soupire surtout souvent devant l'avalanche inévitables de clichés et cette conclusion navrante de mièvrerie à un film qui ne raconte fondamentalement rien de nouveau sur l'adolescence.

Annotation :

Des questionnements plutôt pertinents qui remettent en perspective tout le tryptique et la façon dont on perçoit les mythes de super-héros à l'heure du gavage d'oie de Marvel, malheureusement plombés par une fin hors-sujet qui dénature tout le propos que Shyamalan a essayé de nous communiquer durant les deux heures.

Annotation :

J'aime beaucoup Brie Larson. Contrairement à toute la vacuité de ce truc qui ne raconte rien ni ne montre rien.

Annotation :

Outre le ton surprenamment sombre de l'intro, l'intérêt du film ne réside malheureusement que dans la débauche visuelle enrobant un unique combat au déroulé sans surprise aucune.

Annotation :

Toute la dynamique autour de l'enfance et des gamins fonctionne plutôt bien sans paraître trop lourde ou vulgaire (coucou Ça), mais le mythe du personnage ne m'a jamais accroché, d'autant plus ici avec un antagoniste aussi insipide. Du coup c'est juste boarf ok.

Annotation :

Quelques bonnes idées de mise en scène et une ambiance malaisante à souhait, pourtant quelle ne fut ma surprise en m'apercevant que le film est sorti en 2005 et pas au moins dix ans plus tôt tant paradoxalement il paraît vieillot.

Annotation :

Fort sentiment de gâchis en voyant à quel point le film ne fait rien de son postulat de départ. Le basculement du gamin se déroule de façon extrêmement brutale. On aurait pu avoir un petit défouloir très sympa où le personnage devient vraiment hors de contrôle (c'est pas les sources de Superman déviant qui manquent, vu qu'il est le principe-même ici), c'est uniquement de sa petite famille. Les effets gores sont plutôt surprenant cela dit.

Annotation :

Ah oui Matt Damon chez les Power Rangers, formidable.

Annotation :

Terriblement uniforme, fleurtant parfois avec le nanar, et des personnages auxquels on ne croit jamais.

Annotation :

Une ou deux scènes d'action bien fichues et un Mysterio sympathique ne suffisent pas à atténuer le désarroi face à la construction du personnage constamment ramené à sa condition de "nouvel Iron Man". Laissez-le avoir sa propre vie, bordel.

Annotation :

A aucun moment y a jamais rien qui va, tout le monde fait connerie sur connerie, rien n'a de sens dans ce qui se passe. Et en plus, constamment micro-filmés dans le noir sous la flotte, les combats sont immondes.

Annotation :

Entre l'animation incroyable et le charisme formidable de Porco, ce fut un vrai petit régal à suivre.

Annotation :

Le début du film est particulièrement sombre et intriguant, voire fascinant par sa beauté en dépit de son classicisme. Malheureusement le film laisse bien trop de points en suspens sans raison en plus d'être particulièrement rébarbatif sur son message en boucle de la vie et la mort.

Annotation :

Ca cherche pas loin, la mise en scène est bien trop sage, mais ça se laisse suivre notamment grâce au charisme de son antagoniste.

Annotation :

Berg assure toujours côté mise en scène musclée et rythme intense, mais aussi insistant sur son ton didactique/moralisateur ici à travers les assertions incessantes de Wahlberg tout du long.

Annotation :

Quelques belles scènes pour un conte qui revisite très gentiment un des plus vieux mythes.

Annotation :

Visiblement y a tout un imbroglio autour de ce film, remake d'une adaptation d'un bouquin. Soit, rien vu ni lu de tout ça. Et donc je me suis retrouvé devant un petit film parfois maladroit dans ses effets putassiers, parfois surprenant dans le traitement de ses personnages. On sent tout de même qu'y avait matière à faire quelque chose de plus intriguant encore.

Annotation :

La saga étant dispo depuis peu sur Prime (sauf le dernier), le confinement me paraît idéal pour se lancer à corps perdu dedans, n'ayant d'ailleurs que de vagues souvenirs des trois premiers sans avoir vu le reste.
Et cette introduction donnait parfaitement la note d'intention de ce qu'on allait se manger pendant des années.

Annotation :

Ca y est, le délire Z prend nettement forme autour de cette infamie d'Alice. Les non-sens se succèdent toujours plus. Et par-dessus tout ce flot abjecte surnage difficilement une Jill Valentine formellement plutôt "fidèle".

Annotation :

On est passés du tout bleu au tout jaune. Et apparemment y a Claire aussi. Voilà.

Annotation :

piou piou au ralenti sous l'eau avec des épées dans une prison

Annotation :

Une petite claque tranquille, sans esbroufe, portée tout en justesse par son duo principal et sa sobriété ravageuse.

Annotation :

Un kangourou unijambiste qui fait du trapèze sur la lune en 1889 aurait plus de sens que ça.

Annotation :

Ne connaissant du Chucky original que le concept, c’est sans a-priori que je suis tombé sur ce reboot modernisé qui amène son lot d’idées dans l’ère du temps et qui passent plutôt bien ici. Pas vraiment de moments d’effroi face à un jouet qui aurait pu être bousillé dix fois avant de voir le pire arriver, mais l’ensemble reste plutôt honnête.