Les albums avec la meilleure production

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Enregistré sur deux ans dans 19 studios et avec presque autant d'ingénieurs, il est dominé par la guitare trémolo de Kevin Shields et par des couches successives d'échantillons sonores : guitares, batteries, voix et samples. L'effet net est un mur de son moderne, à la fois hypnotique et chaotique, onirique et tonitruant, urgent et loufoque.

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Des rythmes numériques brillants et croustillants, des synthés luxuriants et quelques échantillons vocaux judicieux qui créent un paysage sonore texturé et atmosphérique.

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Björk examine le conflit entre les éléments humains et artificiels pour créer un son d'un autre monde qui s'est avéré impossible à reproduire. Les rythmes froids de l'IDM, les arrangements de cordes luxuriants et les floraisons instrumentales uniques constituent une toile de fond fascinante pour les expressions vocales primitives de Björk.

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L'album est bon, mais je l'écoute presque exclusivement pour sa production: des tonnes de musiciens de session légendaires, une dynamique sonore absolument parfaite et une basse extrêmement profonde

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Un album où il a fallu 6 mois d'essais sur la console de mixage et à tester plein de micros rien que pour avoir ce son de caisse claire si caractéristique et parfait. Le Black Album était la référence ultime en terme de production metal dans les années 90, c'était LE son que les groupes de metal de l'époque voulaient

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Un son chaud et luxuriant avec des cordes cristallines. Je n'ai jamais entendu ça auparavant

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Une clarté nette et une gamme dynamique qui convient à ses rythmes clairsemés, ses basses sans fond, ses samples de cordes et ses synthés g-funk.

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C'est un excellent exemple de disque qui utilise des sons ambiants pour créer une texture, une profondeur et une atmosphère riches. Le groupe a beaucoup utilisé Pro Tools pour pouvoir avoir une infinité de possibilités dans les arrangements. Il ne faut pas non plus oublier le mixage à la sauce Dub, qui donne un son très profond et claustrophobe

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Blackstar, c'est de l'art-rock avec des relents de jazz et d'électronique: une galaxie loin de l'écoute facile. Mais avec Tony Visconti, le producteur de longue date de Bowie, aux commandes, c'est une joie impeccable pour les oreilles.

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Le son ici est d'une qualité inégalée. On ressent le perfectionnisme des membres du groupe en studio

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Un album dont la réputation n'est plus à faire, mais dont la production reste fascinante. Je n'avais jamais écouté un album aussi bien produit et mixé: les guitares et cordes sont cristallines, les harmonies vocales sont claires, la basse est profonde, le son de batterie est poli et a ce son typique des 70's

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Je n'ai jamais été un fan de AC/DC, mais il faut reconnaître que le songwriting et la production de Back in Black sont incroyables: les guitares sont pêchues (et sous stéroïdes) et la grosse caisse de la batterie est divine, bien ronde

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Les prouesses d'écriture de chaque membre ont été pleinement exposées sur Abbey Road, de "Something" de Harrison (qualifiée de plus grande chanson d'amour des 50 dernières années par Frank Sinatra) à "I Want You (She's So Heavy)" de Lennon, les compétences d'écriture et d'ingénierie des Beatles et de leur collaborateur de longue date George Martin sont au-dessus des tensions du groupe. Les arrangements sont juste sublimes

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Rien que pour la quadriphonie qui donne un son très ampoulé et absolument parfait qui n'a pas pris une seule ride. Le travail de la stéréo est hallucinant également

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il y a une puissance sombre dans son perfectionnisme sonore

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Les arrangements et le Wall of Sound de Phil Spector sont absolument grandioses: ce qui donne un son très chaud, très luxuriant

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Je n'aime pas l'album, mais on est obligé de reconnaître qu'une basse ronronnante comme celle-ci fait du bien aux oreilles

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L'enregistrement de l'album est d'une rare ampleur, chaque élément pouvant être clairement identifié. Combinant des éléments de blues, de jazz et de soul, c'est un album extrêmement influent et, plus de 50 ans après sa sortie, il est toujours très pertinent

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Il s'agit peut-être d'un voyage sombre, mais il est aussi musicalement irrésistible grâce aux arrangements luxuriants, dans lesquels les orgues et les cordes occupent une place importante.

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Aucune hésitation à dire qu'il s'agit de l'un des albums de metal les plus propres et les plus audiophiles jamais réalisés. Le son de guitare me fascine toujours autant après toutes ces années

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L'album des années 50 avec sans doute la meilleure qualité sonore possible

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Comme d'habitude, Prince ne se contente pas de chanter mais joue de nombreux instruments, y compris la programmation des boîtes à rythmes et des samples qui jouent un rôle si important dans le son du disque.

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Si clairsemé que l'on peut presque entendre l'espace vide du studio, avec des rythmes sinistres et des voix parlées, chaque morceau ressemble plus à un chapitre de livre qu'à une chanson.

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Innervisions est un disque dont la production oscille merveilleusement entre précision et abandon, avec une aisance digne d'une ballerine.

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il n'est pas nécessaire de disposer de huit pédales de distorsion et d'un double kick-drum pour créer un son d'une lourdeur pétrifiante.

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Une profondeur sonique se dégage de cet album

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Un mixage et mastering un poil trop lisses, mais tout de même efficaces

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Un équilibre parfait entre samples, boîtes à rythmes, vraie batterie bien ronde, synthétiseurs et guitares électriques

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Une production très organique et luxuriante, avec un rendu assez chaud

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Un vrai mur de son, des claviers crystallins et des percussions limpides