Mes filmos: Fulci Gorefather

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Agh c'est trash! Bon c'est esthétiquement superbe, par contre moi pas tout compris parce que c'est un peu farfelus. Il faut passer outre les incohérences et l'acting franchement pourri, mais c'est globalement une belle découverte :) Un film qui aurait pu être grand, et cette incroyable scène finale!!!

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Le giallo des champs. Bon déjà, le titre français je ne sais pas où ils sont allés le chercher mais alors rien à voir. Fulci nous offre un thriller de campagne avec fausses pistes, multiples suspects, superstition et meurtres glaçants. Même si, comme d'habitude, les acteurs ne sont pas toujours "habités", certaines scènes sont vraiment réussies. Et une petite taloche à l'Eglise catholique pour couronner le tout ;)

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Mutations saphiques. Giallo psychanalitique de Lucio Fulci qui régale visuellement dans ses parties fantasmagoriques, tout en déroulant une enquête hitchcockienne qui ne convainc pas totalement. Le Gorefather arrive quand même à nous embobiner dans ce scénario alambiqué, en nous servant du suspens et quelques idées graphiques qui mèlent onirisme et érotisme. Le tout manque pourtant un peu de cohésion, même si la fin essaye de remédier à celà. Par contre, à mon avis, cette tentative déconstruit un peu tout le voile flottant, entre rêve et réalité.
(et encore un titre français à côté de la plaque...)

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Note à soi-même: ne jamais regarder un film de Fulci en mangeant...
Sinon, film sympathique par certaines scènes mais pas remarquable quand il s'agit de l'histoire, et c'est dommage car ça aurait pu marcher, mais au final le gore esthétisé l'emporte sur le reste et ça par contre, ça reste dans les rétines brrrr.

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Fulci s'attaque au récit historique pervers avec cette adaptation de l'affaire Cenci. Je dois avouer que je ne connaissais pas les détails de cette tragédie familiale du temps de l'inquisition. Une ordure de patriarche horriblement cruel, l'Église et l'opportunisme pécuniaire, abus et tortures malsains, tout y est pour donner la nausée. Avant d'être le Gorefather, Lucio Fulci était déjà un cinéaste qui savait installer les ambiances pesantes, mais il faut avouer que le montage un peu chaotique rend le tout moins fluide. Et pour finir, dans ce décors historique réussi, un hommage à cette Beatrice sublime (Adrienne La Russa) qui mérite le titre romain de la belle parricide

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Un giallo un peu laborieux mais sympathique dans les heures les plus sobres de Fulci avant le Zombi à venir ;) Un puzzle qui se remet en place petit à petit. (avec ce clin d'oeil en ouverture qui reprend le "truc" de La Longue Nuit de l'exorcisme ^^)

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Fulci sur les traces de Romero avec sa dégueulasserie habituelle ^^ Un genre de prequel à La nuit des morts vivants, malgré le titre opportuniste mal choisi de Zombi 2. Cet Enfer des zombies avec la patte visuelle de Fulci est pourtant bien sympathique. Premier kick du cinéaste dans le monde du zombie aux couleurs gores, avec quelques scènes qui brûlent la rétine ;)

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Du Shining et des morts. Le film a vraiment du mal a démarrer même si on essaye de se concentrer sur l'ambiance (visuelle et sonore) assez réussie (enfin, quand ce n'est pas cut abruptement comme dans certaines scènes...). La narration traîne des pieds et nous laisse un peu en plan malgré l'intensité croissante vers la fin. Le gorefather nous offre quand même quelques scènes bien fichues :)

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Le vilain petit canard. Fulci nous offre une visite dans les quartiers neonés du NYC des 70s-80s. Le Gorefather ne lésine pas et on fait le plein de perversité, de corps mutilés et de sang qui gicle mais le faible scénario et la narration assez ratée ne passionnent pas vraiment... même les enquêteurs n'ont pas l'air très intéressés. En tout cas, il me manquait clairement quelque chose pour me captiver. Entre des scènes parfois inutiles, et des enchaînements pas toujours clairs, on a du mal à prendre tout ça au sérieux, surtout avec cette voix de canard. Quack.

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Chat subliminal. Un film de commande où tonton Fulci ne s'est clairement pas trop investi. Le film est assez décousu et les enjeux sont trop minces pour nous accrocher, même chose pour le jeu d'acteurs, à part les sourcis de Patrick Magee qui font du beau boulot :p. Il y'a tout de même quelques belles séquences visuelles qui rendent tout cela un peu digne d'intérêt mais c'est assez dommage que le reste ne soit pas mieux mené. Pauv' bête !

"But he's only a cat."