Mes films vus en 2018

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8/10
Très cadencé dans son rythme de montage, Requiem for a Dream ne laisse pas le temps de souffler, ses personnages nous emportent dans leurs descentes en enfer, et le film est bourré de symboliques. La fin fait atteindre la frustration à son paroxysme, et laisse un bien triste bilan... un régal...

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8/10, Coup de coeur
Un plaisir à revoir pour la 5e fois. Rien à redire, un chef d'oeuvre qui fait rêver, qui prend aux tripes de par la musique et l'exploration, remplit d'émotions et d'acteurs poignants !

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6/10
Ça vaut le détour pour la performance de Noomi Rapace, et le fait que le film se révèle bien plus violent et mature qu'on ne pourrait le penser. Néanmoins, on peine à s'attacher aux soeurs qui tombent une à une, car le pitch et leur histoire est amenée trop vite, sans prendre le temps de développer chacune de leurs personnalités, et que certaines décisions prises semblent vraiment stupides...

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7/10
Poignant dans le jeu des acteurs, Detroit amène une forte tension lors de la longue partie dans le motel qui semble interminable et amène la violence gratuite à un stade très haut, mais parfois caricaturale. Le récit est bien mis en place, et on sent les tensions raciales, même si les origines des manifestations au début du film sont assez floues...

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8/10
Vu pour la première fois en entier ce jour-là, et avec un regard enfin plus critique, Children of Men est pour moi une épopée humaine qui ne laisse pas indifférent, tant sur le plan technique cinématographie, que la performance des acteurs, et les thèmes abordés. L'univers est travaillé pour nous plonger au coeur de ce monde cynique sans espoir, les décors sont denses, gris, et suffisent presque à eux seuls. Un régal servi par Cuarón...

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7/10
Quel plaisir de revoir ce film, pour la deuxième collaboration de John McTiernan dans la série Die Hard. Le mélange action-humour est savamment dosé, ne souffre selon moi pas de longueurs, et sait montrer sa claire différence entre les décors nocturnes et resserrés de Piège de Cristal, et la course-poursuite diurne dans la chaleur infernale d'été new-yorkais d'Une Journée en Enfer.

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6/10
Étant peu habitué au cinéma sud-coréen, beaucoup de choses m'ont échappées dans ce film, notamment des lignes de dialogues et certains plans. Il n'empêche qu'Old Boy offre un rafraichissant spectacle morbide et tordu.

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6/10
Par rapport à son prédécesseur, Suprématie penche trop souvent dans le côté long et sentimental, pour offrir une surdose de regards lourds et tristes. De nombreuses incohérences viennent entraver mon plaisir dans ce film, Woody Harrelson n'offre aucun apport à la trame, et la fin est bien trop plate à mon goût pour offrir une conclusion digne de ce nom à la trilogie si bien entamée.

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5/10
Triste troisième adaptation au cinéma, Homecoming arrive à devenir très malaisant par moment lorsqu'il essaye de faire de l'humour. Tom Holland n'a pas le charisme des précédents Peter Parker, les actions de grands personnages comme Stark sont incohérentes, et le film n'arrive jamais à fournir une situation ou des personnages un tant soi peu crédibles. Ça sent à plein nez le marketing qui vise à offrir un héros "cool" et marrant, qui se doit d'apprendre de ses erreurs pour comprendre qu'un "grand pouvoir implique de grandes responsabilités", oh non pitié pas cette phrase... En tout cas ça ne marche pas, ça emprunte des codes du genre qui sentent le manque d'originalité, tante May s'approche de plus en plus de la vingtaine pour paraître plus agréable à regarder, et c'est pareil pour Peter Parker qui dit faire 16 ans dans le film, alors qu'on voit très bien qu'il est plus vieux. Le Vautour aurait offert un vrai challenge, mais son histoire n'a aucune crédibilité, et apprendre qu'il est le père du crush de Parker m'a tout simplement fait lâcher le film, et c'est là que j'ai compris qu'on avait tout perdu, et que le film partait à la dérive...

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7/10
Un classique du genre, qui maîtrise savamment le mélange d'action et d'humour. Et que j'aime cette époque et ces films !...

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6/10
Pas aussi subtil que le premier, mais se laisse malgré tout regarder car n'a rien d'un mauvais film en soi...

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7/10
Maîtrise totale de son univers, et technique soignée, L'Île aux Chiens est attachant dans son développement des personnages, avec une musique prenante. La VO est un régal, mais je regrette une deuxième partie de film qui semble tourner en rond et donne sa fin un peu vite...

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8/10
Une grande surprise pour ce film qui cache bien son jeu. Dévoilant petit à petit ce qui ne tourne pas rond dans ses personnages, Jersey Affair fait jouer de l'hypocrisie d'une petite communauté prisonnière de la paranoïa depuis qu'un tueur rôde sur l'île, et aime jouer sur les apparences. Les questions sont nombreuses tout au long du film, celui-ci met en place une atmosphère lourde qui tient en haleine, et Jessie Buckley m'a tout simplement bluffé dans son jeu d'actrice...

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4/10
Ça y est, je me souviens pourquoi j'ai lâché l'univers Marvel... Personnage plat, dialogue enfantin, humour lourd et incohérent avec l'univers, Black Panther n'a rien pour lui, va trop vite dans son déroulement tout en paraissant très lent. De plus, la constance "black fierté" qui coule de ce film devient vraiment lourd et s'enlise dans une pseudo-mission de mettre en avant la culture afro et les combats pour les droits civiques, mais avec une maladresse énorme...

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6/10
Ça a pas mal vieilli, et c'est passé niveau dialogue et montage, mais bon c'est une certaine ambiance de 80's en même temps, et ça remet de la nostalgie.

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5/10
Assez plat, on est loin de Gladiator...

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5/10
Comme tout comédie française de nos jours qui se respecte : ça fait passer le temps...

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7/10
Après avoir visionné quelques films de Villeneuve, j'ai appris à apprécié Sicario et y voir plus qu'un simple film sur les cartels. C'est bien plus que ça, un film à l'atmosphère suffocante, plein de secrets, et offrant une descente aux enfers, magnifié par la photographie de Roger Deakins...

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8/10
Déjà vu l'année précédente, ce fût avec une certaine admiration émotionnelle que j'ai pris plaisir à replonger dans ce thriller qui ne laisse pas indifférent.

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7/10
14 ans après il est là, faisant suite à mon Pixar préféré !
L'intrigue n'a rien de bien surprenante, mais le film offre quelque chose de rafraichissant, un humour avec tout juste ce qu'il faut, et un travail sur la photographie et les couleurs bien plus prononcé que sur le premier film.

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6/10
N'ayant jamais vu de Myazaki, je me suis lancé sur Le Château Ambulant pour débuter sa filmographie. Ce genre d'animé n'est pas vraiment mon style, mais il est indéniable qu'il fait voyager, et que les personnages sont attachants (sauf Hauru, à qui on a envie de donner des claques...).

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6/10
Cargo se laisse regarder, et offre quelques jolis symboliques et plans, mais souffre de certaines longueurs, et n'apporte pas la petite touche qui lui permet selon moi de se démarquer d'un film post-apocalyptique...

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7/10
Étonnamment bien meilleur que le premier, Deadpool 2 régale avec une photographie bien moins terne, des blagues mieux réparties et moins lourdes, quelques passages très bien filmés, et un casting qui assure le spectacle.

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7/10
N'appréciant pas réellement l'acteur, il fût néanmoins très intéressant de le voir sous une nouvelle facette, plus fragile (mais fragile à la sauce Van Damme, n'allons pas chercher personnage trop complexe et duel). Le film vaut le détour visuel, possède quelques scènes tournées de manière osée, et j'ai surtout le mot "massif" qui me revient le plus souvent en tête quand je pense à ce film. J'entends des personnages très lourds dans leurs déplacements, une violence qui se fait ressentir à chaque coup porté grâce au sound design. Voir Vandamme frapper sur son sac de boxe est un régal, les coups sont préparés, montent crescendo en intensité, et portent la violence qui évolue tout au long du film. Ce dernier ne brille pas par sa narration évidemment, mais sa réalisation m'a plu au final.

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7/10
Blackkklansman (putain une horreur à écrire) réussi son défi d'aborder un thème sombre pour l'époque en une histoire décalée, qui dose son humour. Mais au-delà de ça, Spike Lee m'a frappé sur la fin. C'est simple comme idée, mais je ne m'attendais pas à une comparaison à cette Amérique moderne schizophrène et victime de sa haine profonde. Les images contrastent avec cette légèreté ambiante qui fut présente tout au long du film, et laissent dans un silence de mort la salle, ayant fait monter les larmes à mes yeux, et m'invitant à quitter sans un bruit la salle, contemplatif, interrogatif...

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7/10
Un ami me l'a proposé en revisionnage avant qu'il aille voir le nouveau Predator, écrit mais Shane Black. Une bonne occasion de revoir donc ce classique du cinéma américain, qui sait allier comme il le faut l'humour et l'action.

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7/10
Vu dans le cadre d'un marathon Harry Potter sur 2 jours dans mon cinéma, en salle ICE s'il vous plaît.

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6/10
Vu dans le cadre d'un marathon Harry Potter sur 2 jours dans mon cinéma, en salle ICE s'il vous plaît.

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8/10
Vu dans le cadre d'un marathon Harry Potter sur 2 jours dans mon cinéma, en salle ICE s'il vous plaît.