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Cyberpunk
livre de Marc Downham
Résumé : "Les ordinateurs ont tout changé. Depuis des années, nous intégrons nos secrets dans leurs logiciels. Nous pouvons provoquer l'effondrement des systèmes bancaires commerciaux de l'Occident. Nous pouvons jouer aux Wisigoths et figer les missiles balistiques intercontinentaux des Soviétiques dans leurs silos secrets. Nous pouvons interrompre la production journalistique à Wapping. Nous pouvons désactiver les systèmes de sécurité d'un réacteur nucléaire. Nous pouvons remettre en orbite des satellites espions. Tout est possible." Les punks des années 70 ont désormais fait place aux cyberpunks. Eux aussi proclament un "No Future" mais inversé : "Nous avons déjà demain, c'est aujourd'hui que nous voulons." Loin de n'être qu'un sous-genre de la science-fiction, le Cyberpunk est un véritable phénomène culturel. Il essaime dans tous les modes d'expression, de la musique à la bande dessinée en passant par le jeu vidéo ou mieux encore le cinéma, où il excelle. Dans cet univers, "le dingue d'informatique et le rocker se rejoignent". Mark Downham cartographie cette nébuleuse en effervescence. Il en dessine l'esthétique et dissèque la genèse du phénomène, en le rapportant à la critique du spectacle de Debord, ici étendue à l'emprise de la technologie sur la vie quotidienne. Pour Downham, l'individu n'est plus déterminé par les seuls médias mais par l'ensemble des nouvelles technologies qui entraînent une véritable virtualisation du réel et de l'avenir. L'essentiel pour lui n'est pas tant de les remettre en cause, mais de critiquer l'utilisation qui en a été faite. À cet égard, Blade Runner offre une illustration magistrale de cette dérive, film dont Downham livre une analyse passionnante à l'aune de cet empire de l'hybride. Le lecteur est entraîné à un rythme effréné, syncopé, dans ce monde où le réel et le virtuel ne font qu'un.
Cyberpunk
livre de Marc Downham
Résumé : "Les ordinateurs ont tout changé. Depuis des années, nous intégrons nos secrets dans leurs logiciels. Nous pouvons provoquer l'effondrement des systèmes bancaires commerciaux de l'Occident. Nous pouvons jouer aux Wisigoths et figer les missiles balistiques intercontinentaux des Soviétiques dans leurs silos secrets. Nous pouvons interrompre la production journalistique à Wapping. Nous pouvons désactiver les systèmes de sécurité d'un réacteur nucléaire. Nous pouvons remettre en orbite des satellites espions. Tout est possible." Les punks des années 70 ont désormais fait place aux cyberpunks. Eux aussi proclament un "No Future" mais inversé : "Nous avons déjà demain, c'est aujourd'hui que nous voulons." Loin de n'être qu'un sous-genre de la science-fiction, le Cyberpunk est un véritable phénomène culturel. Il essaime dans tous les modes d'expression, de la musique à la bande dessinée en passant par le jeu vidéo ou mieux encore le cinéma, où il excelle. Dans cet univers, "le dingue d'informatique et le rocker se rejoignent". Mark Downham cartographie cette nébuleuse en effervescence. Il en dessine l'esthétique et dissèque la genèse du phénomène, en le rapportant à la critique du spectacle de Debord, ici étendue à l'emprise de la technologie sur la vie quotidienne. Pour Downham, l'individu n'est plus déterminé par les seuls médias mais par l'ensemble des nouvelles technologies qui entraînent une véritable virtualisation du réel et de l'avenir. L'essentiel pour lui n'est pas tant de les remettre en cause, mais de critiquer l'utilisation qui en a été faite. À cet égard, Blade Runner offre une illustration magistrale de cette dérive, film dont Downham livre une analyse passionnante à l'aune de cet empire de l'hybride. Le lecteur est entraîné à un rythme effréné, syncopé, dans ce monde où le réel et le virtuel ne font qu'un.
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Cyberpunk
livre de Marc Downham
Résumé : "Les ordinateurs ont tout changé. Depuis des années, nous intégrons nos secrets dans leurs logiciels. Nous pouvons provoquer l'effondrement des systèmes bancaires commerciaux de l'Occident. Nous pouvons jouer aux Wisigoths et figer les missiles balistiques intercontinentaux des Soviétiques dans leurs silos secrets. Nous pouvons interrompre la production journalistique à Wapping. Nous pouvons désactiver les systèmes de sécurité d'un réacteur nucléaire. Nous pouvons remettre en orbite des satellites espions. Tout est possible." Les punks des années 70 ont désormais fait place aux cyberpunks. Eux aussi proclament un "No Future" mais inversé : "Nous avons déjà demain, c'est aujourd'hui que nous voulons." Loin de n'être qu'un sous-genre de la science-fiction, le Cyberpunk est un véritable phénomène culturel. Il essaime dans tous les modes d'expression, de la musique à la bande dessinée en passant par le jeu vidéo ou mieux encore le cinéma, où il excelle. Dans cet univers, "le dingue d'informatique et le rocker se rejoignent". Mark Downham cartographie cette nébuleuse en effervescence. Il en dessine l'esthétique et dissèque la genèse du phénomène, en le rapportant à la critique du spectacle de Debord, ici étendue à l'emprise de la technologie sur la vie quotidienne. Pour Downham, l'individu n'est plus déterminé par les seuls médias mais par l'ensemble des nouvelles technologies qui entraînent une véritable virtualisation du réel et de l'avenir. L'essentiel pour lui n'est pas tant de les remettre en cause, mais de critiquer l'utilisation qui en a été faite. À cet égard, Blade Runner offre une illustration magistrale de cette dérive, film dont Downham livre une analyse passionnante à l'aune de cet empire de l'hybride. Le lecteur est entraîné à un rythme effréné, syncopé, dans ce monde où le réel et le virtuel ne font qu'un.
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Résumé : "Les ordinateurs ont tout changé. Depuis des années, nous intégrons nos secrets dans leurs logiciels. Nous pouvons provoquer l'effondrement des systèmes bancaires commerciaux de l'Occident. Nous pouvons jouer aux Wisigoths et figer les missiles balistiques intercontinentaux des Soviétiques dans leurs silos secrets. Nous pouvons interrompre la production journalistique à Wapping. Nous pouvons désactiver les systèmes de sécurité d'un réacteur nucléaire. Nous pouvons remettre en orbite des satellites espions. Tout est possible." Les punks des années 70 ont désormais fait place aux cyberpunks. Eux aussi proclament un "No Future" mais inversé : "Nous avons déjà demain, c'est aujourd'hui que nous voulons." Loin de n'être qu'un sous-genre de la science-fiction, le Cyberpunk est un véritable phénomène culturel. Il essaime dans tous les modes d'expression, de la musique à la bande dessinée en passant par le jeu vidéo ou mieux encore le cinéma, où il excelle. Dans cet univers, "le dingue d'informatique et le rocker se rejoignent". Mark Downham cartographie cette nébuleuse en effervescence. Il en dessine l'esthétique et dissèque la genèse du phénomène, en le rapportant à la critique du spectacle de Debord, ici étendue à l'emprise de la technologie sur la vie quotidienne. Pour Downham, l'individu n'est plus déterminé par les seuls médias mais par l'ensemble des nouvelles technologies qui entraînent une véritable virtualisation du réel et de l'avenir. L'essentiel pour lui n'est pas tant de les remettre en cause, mais de critiquer l'utilisation qui en a été faite. À cet égard, Blade Runner offre une illustration magistrale de cette dérive, film dont Downham livre une analyse passionnante à l'aune de cet empire de l'hybride. Le lecteur est entraîné à un rythme effréné, syncopé, dans ce monde où le réel et le virtuel ne font qu'un.