« Un troupeau gris d’êtres humains avançait lentement vers l’est – des prisonniers russes en provenance de quelque camp évacué, paisiblement acheminés par une poignée de gardes en haillons, qu’une infortune commune rendait accommodants. »
L’histoire du chaudron de Stalingrad écrite à hauteur d’homme sans préjugés ni ressentiments, sans manichéisme ni biais idéologique, dans un camp de prisonniers entre 1944 et 1945.
L’indéniable qualité littéraire de cet ouvrage retrouvé dans les archives militaires russes en 2012 propose un récit glaçant et passionnant du quotidien de ses hommes aux prises avec l’histoire de la plus grande défaite de l’armée allemande dans le Kessel, le Chaudron - 35 km sur 60 et 150 km de ligne de front -, le tombeau de la Wermacht.
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